Aren feat. Los BlackYamis - city sin ley - traduction des paroles en français

Paroles et traduction Aren feat. Los BlackYamis - city sin ley




city sin ley
ville sans loi
Siento que
Je sens que
No lo viste
Tu ne l'as pas vu
Quisiste olvidarme y no pudiste
Tu as voulu m'oublier et tu n'as pas pu
Y ahora cuando rompo de nuevo otra vez
Et maintenant, quand je déchire à nouveau, encore une fois
Que las calles recuerdan siempre mi fe
Que les rues se souviennent toujours de ma foi
Pintando las paredes hasta las seis
Peindre les murs jusqu'à six heures
Patinando en esta city sin ley
Patinage dans cette ville sans loi
Y ahora cuando escribo de noche
Et maintenant, quand j'écris la nuit
Recuerda adicto al derroche
Souviens-toi accro au gaspillage
Dime que no quieres
Dis-moi que tu ne veux pas
Pero luego me escoges
Mais ensuite tu me choisis
mucho Porsche
Oui, beaucoup de Porsche
Pero mi Carver tiene pintado tu nombre
Mais mon Carver a ton nom peint dessus
Yo me hago el tonto
Je fais l'idiot
Sabiendo mi coste
Connaissant mon coût
Y sin tener ni un polo Lacoste
Et sans avoir un seul polo Lacoste
Y eso que importa
Et qu'est-ce que ça importe
Si al menos yo te disfruto otra noche
Si au moins je te savoure une autre nuit
Siento que
Je sens que
No lo viste
Tu ne l'as pas vu
Ya lo sabes Siempre Triste
Tu le sais déjà, toujours triste
Y ahora cuando rompo de nuevo otra vez
Et maintenant, quand je déchire à nouveau, encore une fois
Que las calles recuerdan siempre mi fe
Que les rues se souviennent toujours de ma foi
Pintando las paredes hasta las seis
Peindre les murs jusqu'à six heures
Patinando en esta city sin ley
Patinage dans cette ville sans loi
(Solo de guitarra)
(Solo de guitare)
Y ahora cuando rompo de nuevo otra vez
Et maintenant, quand je déchire à nouveau, encore une fois
Que las calles recuerdan siempre mi fe
Que les rues se souviennent toujours de ma foi
Pintando las paredes hasta las seis
Peindre les murs jusqu'à six heures
Patinando en esta city sin ley
Patinage dans cette ville sans loi
Tara tarata
Tara tarata





Writer(s): Alex Martin Luque


Attention! N'hésitez pas à laisser des commentaires.