8000 Lines - Blacktop Mojo traduction en français

8000 Lines

Cold walls and bars form a cage in my mind,
8000 Lines scratched keep track of the time,
I can't recall the warmth of the light,
Or the colors and smell from the air outside,
I tilt my head back and scream down the hall,
But there's nobody there who will hear me at all
I throw my fist against the bricks until there's blood on the walls,
And pray for the day they all tremble and fall.
And I count each breath,
Incarcerated in my head,
And my time counts down,
Warden won't you please let me out.
How long will I let this sentence drag on?
I wish I could have back these days that have gone.
If I could escape from my room full of black
Would the world out there even welcome me back?
I tilt my head back and scream down the hall,
But there's nobody there who will hear me at all
I throw my fist against the bricks until there's blood on the walls,
And pray for the day they all tremble and fall.
And I count each breath,
Incarcerated in my head,
And my time counts down,
Warden won't you please let me out.

8000 Lignes

Des murs froids et des barreaux forment une cage dans mon esprit,
8000 lignes gravées gardent la trace du temps,
Je ne me souviens pas de la chaleur de la lumière,
Ni des couleurs et de l'odeur de l'air extérieur,
Je penche la tête en arrière et crie dans le couloir,
Mais il n'y a personne qui m'entende du tout
Je frappe du poing contre les briques jusqu'à ce qu'il y ait du sang sur les murs,
Et je prie pour le jour où ils trembleront tous et tomberont.
Et je compte chaque souffle,
Incarcéré dans ma tête,
Et mon temps décompte,
Gardien, ne veux-tu pas me laisser sortir ?
Combien de temps vais-je laisser cette sentence traîner ?
J'aimerais pouvoir récupérer ces jours qui sont partis.
Si je pouvais m'échapper de ma pièce pleine de noirceur
Le monde extérieur me souhaiterait-il la bienvenue ?
Je penche la tête en arrière et crie dans le couloir,
Mais il n'y a personne qui m'entende du tout
Je frappe du poing contre les briques jusqu'à ce qu'il y ait du sang sur les murs,
Et je prie pour le jour où ils trembleront tous et tomberont.
Et je compte chaque souffle,
Incarcéré dans ma tête,
Et mon temps décompte,
Gardien, ne veux-tu pas me laisser sortir ?