Paroles et traduction Canserbero - Level

Level

Hey, he-he-hey... señoras y señores... frente a ustedes, el libra por libra...
Champion del hip-hop en Venezuela... AP-APA En el papiro...
Tú no tienes idea de lo que es flow si no has escuchado esto...
Levanta el puño...
Ábranme paso pa que vean como parto la pista en pedazos,
Y reparto las partes a todas partes, y te aplazo el desplace...
Echa un vistazo, antes de que la gota vote el vaso,
Ve y cuida tus pasos, se te vence el plazo, (BAM)
Como en la sien un pepazo, como en el ojo un coñazo,
En la nariz un cabezazo, o en las bolas un rodillazo,
Acaso es que no haces caso, acaso tu flow escaso,
Acaso no vez que me paso, crees que uno
Es coca y balazo muchacho...
La esencia pura y cultura de un rap de altura,
El Saguamura de este cuerpo, la columna vertebral,
Mi voz y mi escritura, ya han agarrado otra textura,
Por eso mis partituras suenan a escala real...
No subestimes si no has visto lo que hay en mi cuaderno,
Nunca le des la espalda al toro, te clava los cuernos,
En cualquier momento el cambio de gobierno,
Acuerda que los fríos del otoño, presagia la llegada del invierno...
Desde las laderas del volcán, regresando el quinto dan,
Acá el capitán Ba-dam, el de Liric champion,
Prisionero de Azkaban, con el combo bombo clan,
Que todos fallan pana cuando el pez canta...
El A-P-APA destapa la olla y tapa la boca a los que se topa,
Con mi tropa les tumbo la chapa,
Cojan sus capas pal Apa que aquí no engrapa, ni empapa,
Y en el hiphappa de acá están fuera del mapa...
Se les cae la capa, cuando bajo de la copa del árbol,
De valor me armo, y los mato con mi próximo álbum,
No es el más duro, ni el que tenga más visitas en el muro,
Es el que va sin apuro, lento, pero seguro,
Juro... por mi moral que el reto será personal,
Ni panfleto obsoleto ni boceto lo podrán frenar,
Con la péndula y el pliego, meto nitro y me despego,
Caen litros y sale fuego en el micro cuando me entrego al juego...
Sleeping all aka alias el baby listen Apa,
A los que hablan de espalda y de frente no te dicen na,
Si tienes rimas, sácalas, para ver cuál es tu trácala,
Si no empácalas, o Apache apagará tu flow, Wakala...
The familege no espanta a los come fiambre,
Que son unos fígaros, pues ya yo sé que tienen hambre,
Mantengan distancia, controlen bien sus arrogancias,
Recuerden que ahorita ustedes están en plena lactancia mijo,
Ni tu diatriba, y conducta antideportiva,
Derriba a los que están arriba en esta directiva,
No es el más arrecho, ni el que pegue el culo del techo,
La teoría solo es viable cuando está basada en hechos...
Man componte, antes que me monte,
Sobre otro beat de K-pu-to como esos que les gusta el rap todonte,
Conmigo no confronte,
Que yo voy con mis botas y mis herramientas
Quitando las malezas que hay en el monte...
Apache one more time my nis, los que no pasan de moda,
Como en los barrio el anís, el que los pone full happy,
Como el cannabis o el hachis, oh baby listen el papi,
you know like this, (Díselo) This is Kpu baby el de la poesía musical,
Preparando el instrumental, y buscando más municiones,
is true baby, voy cargando al fan lirical,
Mientras Cotur deja el terreno en perfectas condiciones,
Estaban haciendo fiesta, porque teníamos la Santa María abajo,
Sin saber que andábamos metidos en el gajo,
Oyendo samples, bombo, caja y bajos,
El Can preparando el elixir, y yo del otro lado masticando ajos,
Oye chamito, te veo de lejitos, muy sueltesito,
Viendo cómo se te suben los humitos,
Yo tomándome un tésito, porque sé que eso es típico de raperitos,
Que se crecen cuando sacan un disco y un videíto,
Es que creen, que por que lo están escuchando ahorita,
Van a poder desplazar a estos vietnamitas,
Esta mierda es dinamita, tanto así que cuando saco un temita,
Te lo aprendes tú, y hasta tu jevitas,
¿Quieres pincharme las llantas? ni dándote ventaja te adelantas,
Ahora disque hay que afinar la garganta,
Mijito usted si quiere pegue gritos, fanfarrones frente al micro,
Pero condorito engruñando la voz cualquiera canta...
Joder, ¿Tú crees que vas a poder detener o romper,
Esta alianza que acaba de nacer? pues no sé qué van a hacer,
Ni donde se van a meter, tienen todas las de perder,
¿Te haces el ciego o es que no quieres ver?
Coño, no andes chapoteando fuera del el agua,
Que después alborota el ambre y te pican las pirañas,
Coño, ya dejen de estar metiendo sisañas que ustedes
Mismos se engañan, ya dejen sus malas mañas...
Yeah!...,
Es la onda expansiva, desde el consultorio de los foking crackers,
Llaman, poniendo seriedad al asunto...
Ohh men, this is crazy... narananana

Niveau

Hé, hé-hé-hé... Mesdames et Messieurs... Devant vous, le meilleur, livre pour livre...
Champion du hip-hop au Venezuela... AP-APA Sur le papyrus...
Tu n'as aucune idée de ce qu'est le flow si tu n'as pas écouté ça...
Lève le poing...
Laissez-moi passer pour que vous voyiez comment je découpe la piste en morceaux,
Et je distribue les parts partout, et je te donne rendez-vous pour le déplacement...
Jette un coup d'œil, avant que la goutte ne fasse déborder le vase,
Regarde et fais attention à tes pas, le temps t'est compté, (BAM)
Comme une balle dans la tempe, comme un coup de poing dans l'œil,
Un coup de tête dans le nez, ou un coup de genou dans les couilles,
C'est que tu n'écoutes pas, c'est que ton flow est faible,
Tu ne vois pas que je passe, tu crois qu'on
Est cocaïne et balles mon pote...
L'essence pure et la culture d'un rap de haut niveau,
Le Saguamura de ce corps, la colonne vertébrale,
Ma voix et mon écriture, ont déjà pris une autre texture,
C'est pourquoi mes partitions sonnent à l'échelle réelle...
Ne sous-estime pas si tu n'as pas vu ce qu'il y a dans mon carnet,
Ne tourne jamais le dos au taureau, il t'enfonce les cornes,
À tout moment le changement de gouvernement,
N'oublie pas que les fraîcheurs de l'automne, présagent l'arrivée de l'hiver...
Depuis les flancs du volcan, de retour le cinquième dan,
Ici le capitaine Ba-dam, celui de Liric champion,
Prisonnier d'Azkaban, avec le combo bombo clan,
Tout le monde échoue quand le poisson chante...
Le A-P-APA découvre le pot aux roses et ferme la bouche à ceux qui s'y frottent,
Avec ma troupe on leur fait sauter le verrou,
Prenez vos cliques et vos claques car ici ça ne prend pas, ça ne s'imprègne pas,
Et dans le hip-hop d'ici vous êtes hors du game...
Leur masque tombe, quand je descends de la cime de l'arbre,
Je m'arme de courage, et je les tue avec mon prochain album,
Ce n'est pas le plus dur, ni celui qui a le plus de visites sur le mur,
C'est celui qui va sans se presser, lentement, mais sûrement,
Je jure... sur mon honneur que le défi sera personnel,
Ni pamphlet obsolète ni brouillon ne pourront l'arrêter,
Avec le pendule et la feuille, je mets du nitro et je décolle,
Des litres tombent et le feu jaillit dans le micro quand je me livre au jeu...
Sleeping all aka alias le baby listen Apa,
Ceux qui parlent dans ton dos et en face ne te disent rien,
Si tu as des rimes, sors-les, pour voir quel est ton trafic,
Sinon range-les, ou Apache éteindra ton flow, Wakala...
La famille n'effraie pas les mangeurs de jambon,
Qui sont des vantards, car je sais déjà qu'ils ont faim,
Gardez vos distances, contrôlez bien vos arrogances,
Rappelez-vous que vous êtes encore en pleine période d'allaitement mon pote,
Ni tes diatribes, et ton comportement antisportif,
N'abat ceux qui sont en haut de cette direction,
Ce n'est pas le plus badass, ni celui qui colle son cul au plafond,
La théorie n'est viable que lorsqu'elle est basée sur des faits...
Mec calme-toi, avant que je ne monte,
Sur un autre beat de K-pu-to comme ceux qui aiment le rap tout public,
Ne me confronte pas,
Que je vais avec mes bottes et mes outils
Enlever les mauvaises herbes qu'il y a dans la montagne...
Apache one more time my nis, ceux qui ne se démodent pas,
Comme dans les quartiers l'anis, celui qui les rend complètement heureux,
Comme le cannabis ou le haschich, oh baby listen papa,
tu sais comme ça, (Dis-le) C'est Kpu baby celui de la poésie musicale,
En train de préparer l'instrumental, et de chercher plus de munitions,
c'est vrai bébé, je charge le fan lyrical,
Pendant que Cotur laisse le terrain dans des conditions parfaites,
Ils faisaient la fête, parce qu'on avait la Santa Maria en bas,
Sans savoir qu'on était dans le pétrin,
En train d'écouter des samples, grosse caisse, caisse claire et basses,
Le Can en train de préparer l'élixir, et moi de l'autre côté en train de mâcher de l'ail,
Hé gamin, je te vois de loin, très détendu,
En train de regarder tes petites fumées monter,
Je prends un petit thé, parce que je sais que c'est typique des petits rappeurs,
Qui prennent la grosse tête quand ils sortent un album et un clip,
C'est qu'ils croient, que parce qu'on les écoute en ce moment,
Ils vont pouvoir remplacer ces vietnamiens,
Cette merde c'est de la dynamite, à tel point que quand je sors un morceau,
Tu l'apprends, et même ta maman,
Tu veux me crever les pneus ? Même avec de l'avance tu ne me rattrapes pas,
Maintenant il faut soi-disant s'échauffer la voix,
Mon petit si tu veux pousse des cris, des fanfaronnades devant le micro,
Mais condorito qui grogne la voix tout le monde peut chanter...
Putain, tu crois que tu vas pouvoir arrêter ou briser,
Cette alliance qui vient de naître ? Eh bien je ne sais pas ce qu'ils vont faire,
Ni où ils vont se mettre, ils ont tout à perdre,
Tu fais l'aveugle ou tu ne veux pas voir ?
Putain, arrête de patauger hors de l'eau,
Parce qu'après la faim se réveille et les piranhas te mordent,
Putain, arrêtez de semer la zizanie, vous vous
Dupez vous-mêmes, laissez tomber vos mauvaises habitudes...
Yeah!...,
C'est l'onde de choc, depuis le cabinet des foking crackers,
Ils appellent, mettant du sérieux dans l'affaire...
Ohh mec, c'est fou... narananana