Paroles et traduction Chantal Goya - Mon Ami Le Pélican

Mon Ami Le Pélican

De tous les oiseaux de la terre
Qui volent au-dessus de la mer
Il y en a un que je préfère
Il vole comme les avions
Mange pour pêcher les poissons
Se pose comme un papillon
Près des rivages ensoleillés
Devant les plages abandonnées
Il vient chercher le déjeuner
Qu'il rapporte à ses petits enfants
Qui attendent bien sagement
Leur petit papa pélican

Toi, mon ami le pélican
Emporte-moi mais dis-moi quand
Nous partirons vers l'Amérique
Et voir les îles sous le vent
Toi, mon ami le pélican
Emporte-moi mais dis-moi quand
Nous traverserons l'Atlantique

Portés sur les ailes du vent

Tu m'as emmené tout là-bas
Là où il ne fait jamais froid
Ils étaient gentils, les boas
Et les petits bébés dauphins
Même les singes aux yeux malins
Nous ont fait bonjour de la main
Et quand je lui ai dit, je pense
Qu'elle me manquait un peu, la France
Aussitôt, sur la mer immense
Il m'a ramené à Paris

Et je lui souhaite un ami
À qui il pourrait dire aussi

Toi, mon ami le pélican
Emporte-moi mais dis-moi quand
Nous partirons vers l'Amérique
Et voir les îles sous le vent
Toi, mon ami le pélican
Emporte-moi mais dis-moi quand
Nous traverserons l'Atlantique
Portés sur les ailes du vent

Toi, mon ami le pélican
Emporte-moi mais dis-moi quand
Nous partirons vers l'Amérique
Et voir les îles sous le vent
Rien se sera plus joli quand
Rien se sera plus joli quand
Tu me montreras l'Atlantique
Toi mon ami le pélican

My Friend the Pelican

Of all the ocean's feathered wonders,
Soaring over waves and sunder,
There's one that fills me with delight,
It flies with an aircraft's might,
Dives to catch fish in its beak,
Lands as soft as falling flakes,
Near sun-kissed shores and sandy coves,
By ocean's song where silence roves,
It scans the scene with eager gaze,
And feeds its young through sun-drenched days,
Who wait with patience by the sea,
For their wise father, the pelican.

Oh, my friend, the pelican,
Take me with you if you can,
Let's journey to America's shores,
Where crashing waves dance evermore,
Oh, my friend, the pelican,
Take me with you if you can,
Across the Atlantic's vast expanse,

On wings of wind and pure romance.

You took me far, to distant lands,
Where winter's breath could not withstand,
The boas smiled, a gentle host,
And playful dolphins grazed the coast,
Even monkeys, with their eyes so sly,
Waved hello as we soared and fly,
And when I whispered of my home,
That I missed its streets, its lively dome,
Swiftly back across the boundless sea,
You brought me back to Paris, where I'd be.

May you find a kindred soul,
To whom you might your wings unroll

Oh, my friend, the pelican,
Take me with you if you can,
Let's journey to America's shores,
Where crashing waves dance evermore,
Oh, my friend, the pelican,
Take me with you if you can,
Across the Atlantic's vast expanse,
On wings of wind and pure romance.

Oh, my friend, the pelican,
Take me with you if you can,
Let's journey to America's shores,
Where crashing waves dance evermore,
Nothing could be more divine,
Nothing could be more fine,
When you show me the Atlantic's might,
Oh, my friend, the pelican.