Paroles et traduction Didier Barbelivien - C'était Gabin

C'était Gabin

Ce regard malicieux qu'il plantait dans vos yeux
Ce sourire de gamin, pour dire le ciel est bleu, c'était gabin
Une valse à l'endroit, une valse à l'envers
Une vieille 203, la casquette en arrière, c'était gabin

Mais--- sous ciel, le diable absent, paroles du clan des siciliens
Au square des batignolles, c'était gabin
Sur l'écran noir et blanc, je regarde monsieur jean
En habit de président et c'est toujours gabin

Sur le décor en arrière on voit les folies bergères
Les rues d'un singe en hiver, un cinéma populaire

T'as de beaux yeux tu sais, la rançon du succès
En ces années de guerre, l'avenir on sait jamais, c'était gabin
Ce visage de granit qui parlait en anglais
Pour dire la messe est dite au curé qui passait, c'était gabin

De la rue des prairies au courting delongchamps
Il vous squatait paris sans oublier ses chants, c'était gabin
Sur l'écran blanc et noir, archimède le clochard
Les gens sont ---, c'était toujours du gabin

On découvre en arrière plan, un match de boxe de servant
Marlène au bras de monsieur jean, c'est du cinéma vivant

Ce regard malicieux qu'il plantait dans vos yeux
Ce sourire de gamin, pour dire le ciel est bleu, c'était gabin
Une valse à l'endroit, une valse à l'envers
Une vieille 203, la casquette en arrière, c'est toujours du gabin
C'est toujours du gabin

It was Gabin

That mischievous look he planted in your eyes
That childlike smile to say that the sky is blue, that was Gabin
A waltz the right way, a waltz the wrong way
An old 203, the cap on backwards, that was Gabin

But--- under the sky, the devil absent, the words of the clan of the Sicilians
In the Batignolles square, that was Gabin
On the black and white screen, I watch Monsieur Jean
In a president's suit, and it's always Gabin

On the backdrop, you can see the Folies Bergères
The streets of a monkey in winter, a popular cinema

You have beautiful eyes, you know, the ransom of success
In those war years, you never know your future, that was Gabin
That granite face that spoke in English
To say that the mass was given to the priest who passed by, that was Gabin

From rue des Prairies to Courting Delongchamps
He took over Paris without forgetting his songs, that was Gabin
On the black and white screen, Archimedes the bum
The people are---, that was always Gabin

We discover in the background, a boxing match by Servant
Marlene on the arm of Monsieur Jean, it's living cinema

That mischievous look he planted in your eyes
That childlike smile to say that the sky is blue, that was Gabin
A waltz the right way, a waltz the wrong way
An old 203, the cap on backwards, it's always Gabin
It's always Gabin