Paroles et traduction Doña - Idées claires

Idées claires

Devant les yeux du monde, le matin je veille
Et si chaque seconde, ce n'était plus pareil
Imagine toi juste une histoire d'une nuit sans soleil
Parfois je vois ces milliers de gens qui te laissent sans nouvelles

Tululu, tululu
Sale souvenir de la veille
Tululu, tululu
Retenez-moi dans ce sommeil

J'ai les idées claires je vois la lumière
Six mille pieds sous terre l'étau se resserre

Sans voix finalement, je refais mon existence
Courir après les gens j'en demande pas autant
Sont remplis de soit-disant
Sentiment, grandissant, simple contre-temps
Courir après les gens j'en demande pas autant
Sont remplis de soit-disant

Vieillissant je me sens, enlaçant le temps
Vieillissant je me sens, enlaçant le temps

Devant les yeux du monde, les matin s'éteignent
Et si chaque seconde les aiguilles s'inversaient
Dans mes états j'essaye, gauche droite dans mes oreilles
Des bruits assourdissants
Des images défilent et je me fais des films, triste dénouement

Tululu, tululu
Sale souvenir de la veille
Tululu, tululu
Retenez-moi dans ce sommeil

J'ai les idées claires je vois la lumière
Six mille pieds sous terre l'étau se resserre

Sans voix finalement, je refais mon existence
Courir après les gens j'en demande pas autant
Sont remplis de soit-disant
Sentiment grandissant, simple contre-temps
Courir après les gens j'en demande pas autant
Sont remplis de soit-disant

Vieillissant je me sens, enlaçant le temps

Clear Ideas

Before the eyes of the world, I watch over the morning
And if every second, it was no longer the same
Just imagine a story of a night without the sun
Sometimes I see those thousands of people who leave you without news

Tululu, tululu
Dirty memory of the night before
Tululu, tululu
Hold me in this slumber

I have clear ideas, I see the light
Six thousand feet underground, the vice tightens

Finally voiceless, I remake my existence
Running after people, I don't ask for that
Are filled with so-called
Feeling, growing, simple setback
Running after people, I don't ask for that
Are filled with so-called

Growing old, I feel, embracing time
Growing old, I feel, embracing time

Before the eyes of the world, mornings fade
And if every second the hands reversed
In my states I try, left, right in my ears
Deafening noises
Images scroll by, and I make movies, sad ending

Tululu, tululu
Dirty memory of the night before
Tululu, tululu
Hold me in this slumber

I have clear ideas, I see the light
Six thousand feet underground, the vice tightens

Finally voiceless, I remake my existence
Running after people, I don't ask for that
Are filled with so-called
Growing feeling, simple setback
Running after people, I don't ask for that
Are filled with so-called

Growing old, I feel, embracing time