Paroles et traduction Duncan Dhu - El Chico de los Ojos Asustados

El Chico de los Ojos Asustados

Sigue allí junto a la pared
Ese cuerpo que está esperando
En la ventana por ti.
Y tú estás donde no te ve,
Pero tú le ves
En la calle de los balcones de atrás.
La pared de ladrillo gris
Siempre junto a ti,
Siempre junto a ti,
La conoces muy bien,
Muy muy bien.
Y siguen allí
Y siguen por siempre allí;
Sin hablar
Tus bellos ojos asustados
(Aquellos ojos).
Un portal en la oscuridad
Bajo su balcón
Sabes muy bien dónde te conduciría.
Sin pensar
Oyes al entrar pasos al sonar
Risas al chillar dentro de su portal.
Si te vas pierdes la ocasión
De volverla a ver como debe ser
Y no sabes pensar, al temblar.
Y viven allí
Y nunca se cansarán de mirar
A la ventana encendida.
Subirás sin poder parar,
Sin mirar atrás,
Un segundo más y la conocerás.
Al sonar tu respiración contra la pared
En un cuarto piso su voz te asustó.
Ella fue una suave piel, una dulce voz,
Ojos de cristal, un segundo de amor,
Para ti.
Y allí seguirá,
De nuevo le has vuelto a ver,
Al pasar en la ventana encendida.

Le garçon aux yeux effrayés

Elle est toujours là, contre le mur
Ce corps qui attend
Dans la fenêtre pour toi.
Et tu es là où elle ne te voit pas,
Mais tu la vois
Dans la rue des balcons arrière.
Le mur de briques grises
Toujours à côté de toi,
Toujours à côté de toi,
Tu la connais très bien,
Très très bien.
Et elles sont toujours là
Et elles sont toujours là pour toujours;
Sans parler
Tes beaux yeux effrayés
(Ces yeux).
Un portail dans l'obscurité
Sous son balcon
Tu sais très bien où il te conduirait.
Sans réfléchir
Tu entends des pas en entrant
Des rires qui crient à l'intérieur de son portail.
Si tu pars, tu perds l'occasion
De la revoir comme elle doit être
Et tu ne sais pas penser, en tremblant.
Et elles vivent là
Et elles ne se lasseront jamais de regarder
La fenêtre allumée.
Tu monteras sans pouvoir t'arrêter,
Sans regarder en arrière,
Une seconde de plus et tu la connaîtras.
Au son de ta respiration contre le mur
Au quatrième étage, sa voix t'a effrayé.
Elle était une peau douce, une voix douce,
Des yeux de cristal, une seconde d'amour,
Pour toi.
Et elle sera toujours là,
Tu l'as revue,
En passant devant la fenêtre allumée.