Paroles et traduction Franco Califano - Donna io ti amo

Donna io ti amo

Le donne volano senza ali
Quanti miracoli in tanti voli
Donne nuove così sicure
Le gambe da trampoliere... donna mia

Le donne nuvole passeggere
Le brevi piogge, le donne vere
E quando vogliono sono chiare
Ti sparano rime al cuore... poesia...

Una donna mai si pente
Se ti dà tutto oppure niente
Occhi, viso, seno, sguardo
A ogni curva c′è un traguardo...

Le donne che comandano i nostri giorni
E se poi vanno via
Noi stiamo lì
Disperando nei ritorni...

Queste donne,
Le compagne di tante notti
Spalle forti nei guai, complici
E noi che diventiamo matti...

Donna per un uomo...
Donna, io ti amo...

Le donne e il brivido di un motore
Le gonne al vento come bandiere
Le donne sono come le stelle
Di notte cambiano pelle?... Donna mia...

Donna quando fai l'amante
Mi violenti anche la mente
E noi uomini cediamo
Sempre lì che ci perdiamo

Le donne, un po′ fiori e un po' farfalle
Delicate, se vuoi, stupidi noi
Sappiamo anche sciuparle

Queste donne, le compagne dei giorni nostri
Spalle forti nei guai, complici e a noi
Sembrano a volte mostri...

Donna per un uomo...
Donna, io ti amo...

Femme, je t'aime

Les femmes volent sans ailes
Tant de miracles dans tant de vols
Femmes nouvelles, si sûres d'elles
Des jambes comme des échassiers... ma chérie

Les femmes, des nuages ​​passagers
Les courtes pluies, les vraies femmes
Et quand elles le veulent, elles sont claires
Elles te lancent des rimes au cœur... de la poésie...

Une femme ne se repent jamais
Si elle te donne tout ou rien
Yeux, visage, poitrine, regard
A chaque courbe, il y a un but...

Les femmes qui commandent nos journées
Et si elles s'en vont
Nous restons là
Désespérés des retours...

Ces femmes,
Les compagnes de tant de nuits
Des épaules fortes dans les ennuis, des complices
Et nous qui devenons fous...

Femme pour un homme...
Femme, je t'aime...

Les femmes et le frisson d'un moteur
Les jupes au vent comme des drapeaux
Les femmes sont comme les étoiles
La nuit, elles changent de peau ?... Ma chérie...

Femme, quand tu fais l'amoureuse
Tu me violes même l'esprit
Et nous, les hommes, nous cédons
Toujours là à nous perdre

Les femmes, un peu fleurs et un peu papillons
Délicates, si tu veux, nous sommes stupides
Nous savons aussi les gâcher

Ces femmes, les compagnes de nos jours
Des épaules fortes dans les ennuis, des complices, et nous
Elles nous apparaissent parfois comme des monstres...

Femme pour un homme...
Femme, je t'aime...