Paroles et traduction Grödash feat. Templar - Ciao Bandido

Ciao Bandido

CIAO BANDIDO

J'en veux au passé de toujours être aussi
Présent. Aux souvenirs d'être aussi doux et apaisant.
Ciao Bandido...
Le futur me tend les bras le passé une porte sans clefs.
Une chambre vide dans laquelle on ose plus entrer. Non...
Car nos morts dorment dans cette pièce.
Ma mémoire les espionne mais rien ne trouble leurs siestes...
Ranges ta flute, les bulles restent sous le liège.
Pas de corn flakes je veux un bol d'air au p'tit dej.
Putain je m'en veux, je m'en veux d'être aussi bête.
Pourquoi la mort me charme si la vie est aussi belle.
Derrière y'a du monde sur les devants de la scène,
Combien reste quand c'est la "hass" que le rideau se baisse...
Donc a chaque texte y'a le poids des mots la poigne,
Papy, je me fous a poil pour jamais retourner ma veste.
On trouve la force de t'avouer nos faiblesses...
On t'ouvre la porte sur nos défaites et nos échecs.
J'étais fou voulant vivre d'amour et d'eau fraiche.
Au final soit je suis saoul soit j'ai la gorge sèche.
Pas a ma place comme un glaçon dans les braises...
Je laisse des traces en suivant celles de mes ancêtres.
Coupez moi les mains si je ne peux toucher mes rêves.
Otez moi l'envie d'aimer si je ne peux gouter ses lèvres...
Sommeil léger a cause des lourdes peines.
L'espoir s'achète j'ai séché le jour de paye.
Droit au but car je sais que le temps presse.
On va pas aux putes quand on cherche de la tendresse...
Fuck la gloire et l'argent bête,
Je sors mon cerf-volant quand ils annoncent de la tempête...
Mon drapeau blanc quand la chasse est ouverte mais
Dis leurs bien je préfère le cerceuiĺ aux gourmettes...

Ciao Bandido

CIAO BANDITO

I'm angry with the past for always being so
Present. With memories for being so sweet and soothing.
Ciao Bandido...
The future holds out its arms to me, the past a door without keys.
An empty room that we no longer dare to enter. No...
Because our dead sleep in that room.
My memory spies on them, but nothing disturbs their naps...
Put away your flute, the bubbles stay under the cork.
No corn flakes, I want a bowl of air for breakfast.
Damn it, I'm mad at myself for being so stupid.
Why does death charm me if life is so beautiful.
Behind there are people on the front of the stage,
How many remain when it's the "hate" that the curtain falls...
So with each text there's the weight of the words, the fist,
Grandpa, I'm stripping naked to never turn my jacket inside out again.
We find the strength to confess our weaknesses to you...
We open the door to you on our defeats and our failures.
I was crazy to want to live on love and fresh water.
In the end, I'm either drunk or my throat is dry.
Out of place like an ice cube in the embers...
I leave traces by following in the footsteps of my ancestors.
Cut off my hands if I can't touch my dreams.
Take away my desire to love if I can't taste her lips...
Light sleep because of heavy sorrows.
Hope is bought, I skipped the payday.
Straight to the point because I know that time is pressing.
We don't go to whores when we're looking for tenderness...
Fuck glory and stupid money,
I get out my kite when they announce the storm...
My white flag when the hunt is open but
Tell them I prefer a coffin to bracelets...