Paroles et traduction Heintje Simons - Omas Lieblinge (Remastered)

Omas Lieblinge (Remastered)

Wenn Oma Eure Kinder verhätschelt, verwöhnt und die Liebe der kleinen ihren Abend verschönt.
Dann seid nicht gleich bös,
Ach ist das so schwer und gönnt ihr das Glück, denn sonst blieb ihr nichts mehr.
Wenn Oma Eure Kinder verhätschelt, verwöhnt, dann nur weil sie in ihnen viel von Euch wieder erkennt und weil sie dran denkt, ihr wart auch mal so klein.
Erinnerung blieb ihr allein.
Wenn wir Kinder erzählen,
Bei Oma im Haus, da ist alles viel schöner, viel feiner als zu Haus.
Laßt der Oma doch die Freude und die Eifersucht begrabt.
Gönnt das Glück den alten Menschen, solang ihr sie noch habt.
Wenn Oma Eure Kinder verhätschelt, verwöhnt.
Und manches der kleinen nach der Oma sich sehnt,
Dann seid nicht gleich bös,
Verzeiht ihr es doch,
Was blieb ihr im Leben den anderes noch?.
Wenn Oma Eure Kinder verhätschelt, verwöhnt.
Dann nur weil sie in ihnen viel von Euch wieder erkennt.
Und weil sie dran denkt,
Iht wart klein, grad wie sie.
Ach nehmt diese Freude ihr nie.

Les chouchous de grand-mère (Remasterisé)

Quand grand-mère gâte tes enfants, les chouchoute et que l'amour des petits embellit sa soirée.
Ne sois pas tout de suite fâché,
Ah, est-ce si difficile de lui accorder ce bonheur ? Car sinon, il ne lui resterait plus rien.
Quand grand-mère gâte tes enfants, les chouchoute, c'est juste parce qu'elle reconnait en eux beaucoup de vous et parce qu'elle se souvient, vous aussi vous étiez petits.
Le souvenir lui reste seul.
Quand nous, les enfants, racontons,
Chez grand-mère, tout est bien plus beau, bien plus fin qu'à la maison.
Laisse grand-mère profiter de cette joie et enterre la jalousie.
Accorde ce bonheur aux personnes âgées, tant que tu les as encore.
Quand grand-mère gâte tes enfants, les chouchoute.
Et que certains des petits se languissent après grand-mère,
Ne sois pas tout de suite fâché,
Pardonnez-lui,
Qu'est-ce qui lui est resté d'autre dans sa vie ?.
Quand grand-mère gâte tes enfants, les chouchoute.
C'est juste parce qu'elle reconnait en eux beaucoup de vous.
Et parce qu'elle se souvient,
Vous étiez petits, tout comme elle.
Ah, ne lui enlève jamais cette joie.