José Luis Rodríguez con Los Panchos - Moliendo Café - traduction des paroles en français

Paroles et traduction José Luis Rodríguez con Los Panchos - Moliendo Café




Moliendo Café
Moliendo Café
Cuando la tarde languidece renacen las sombras
Quand le soir se languit, les ombres renaissent
Y en la quietud los cafetales vuelven a sentir
Et dans le calme, les caféiers se remettent à ressentir
Esa triste, canción de amor de la vieja molienda
Cette triste chanson d’amour de la vieille meule
En el letargo de la noche parece gemir
Dans la torpeur de la nuit, elle semble gémir
Cuando la tarde languidece renacen las sombras
Quand le soir se languit, les ombres renaissent
Y en la quietud los cafetales vuelven a sentir
Et dans le calme, les caféiers se remettent à ressentir
Esa triste, canción de amor de la vieja molienda
Cette triste chanson d’amour de la vieille meule
Y en el letargo de la noche parece gemir
Et dans la torpeur de la nuit, elle semble gémir
Una pena de amor, una tristeza
Une peine d’amour, une tristesse
Lleva el zambo Manuel en su amargura
Le zambo Manuel porte dans son amertume
Pasa incansable la noche, moliendo café
Il passe la nuit sans relâche, à moudre du café
Cuando la tarde languidece renacen las sombras
Quand le soir se languit, les ombres renaissent
Y en la quietud los cafetales vuelven a sentir
Et dans le calme, les caféiers se remettent à ressentir
Esa triste, canción de amor de la vieja molienda
Cette triste chanson d’amour de la vieille meule
En el letargo de la noche parece gemir
Dans la torpeur de la nuit, elle semble gémir
Una pena de amor, una tristeza
Une peine d’amour, une tristesse
Lleva el zambo Manuel en su amargura
Le zambo Manuel porte dans son amertume
Pasa incansable la noche, moliendo café
Il passe la nuit sans relâche, à moudre du café
Cuando la tarde languidece renacen las sombras
Quand le soir se languit, les ombres renaissent
Y en la quietud los cafetales vuelven a sentir
Et dans le calme, les caféiers se remettent à ressentir
Esa triste, canción de amor de la vieja molienda
Cette triste chanson d’amour de la vieille meule
Y en el letargo de la noche parece gemir
Et dans la torpeur de la nuit, elle semble gémir
Y en el letargo de la noche parece gemir.
Et dans la torpeur de la nuit, elle semble gémir.





Writer(s): Jose Manzo Perroni


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