Julio Jaramillo - Me Duele el Corazón - traduction des paroles en français

Paroles et traduction Julio Jaramillo - Me Duele el Corazón




Me Duele el Corazón
Me Duele el Corazón
Me duele el corazón con tal violencia
J'ai mal au cœur avec une telle violence
Me duele que no puedo respirar
J'ai mal à en perdre le souffle
No que pasará
Je ne sais pas ce qui va se passer
Con este gran dolor
Avec cette grande douleur
De noche no me deja descansar
La nuit, elle ne me laisse pas me reposer
Pobre de
Pauvre de moi
No que pasará
Je ne sais pas ce qui va se passer
Con este gran dolor
Avec cette grande douleur
De noche no me deja descansar
La nuit, elle ne me laisse pas me reposer
¿Donde están mis amigos? No los veo
sont mes amis ? Je ne les vois pas
¿Dónde están mis hermanos? No los hallo
sont mes frères ? Je ne les trouve pas
Sólito he de sufrir
Je dois souffrir seul
Sólito he de llorar
Je dois pleurer seul
Sólito yo me tengo que acabar
Je dois finir seul
Pobre de
Pauvre de moi
Sólito he de sufrir
Je dois souffrir seul
Sólito he de llorar
Je dois pleurer seul
Sólito yo me tengo que acabar
Je dois finir seul
Delante de la virgen me arrodillo
Je m'agenouille devant la Vierge
Le pido que no me haga sufrir más
Je la supplie de ne plus me faire souffrir
Que me haga ese favor
De m'accorder cette faveur
No hacerme padecer
De ne plus me faire endurer
Si no hasta la razón voy a perder
Sinon je vais perdre la raison
Pobre de
Pauvre de moi
Que me haga ese favor
De m'accorder cette faveur
No hacerme padecer
De ne plus me faire endurer
Si no hasta la razón voy a perder
Sinon je vais perdre la raison
¿Dónde están mis amigos? No los veo
sont mes amis ? Je ne les vois pas
¿Dónde están mis hermanos? No los hallo
sont mes frères ? Je ne les trouve pas
Sólito he de sufrir
Je dois souffrir seul
Sólito he de llorar
Je dois pleurer seul
Sólito yo me tengo que acabar
Je dois finir seul
Pobre de
Pauvre de moi
Sólito he de sufrir
Je dois souffrir seul
Sólito he de llorar
Je dois pleurer seul
Sólito yo me tengo...
Je dois finir...
Que acabar
Seul





Writer(s): Chucho Martinez Gil


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