Paroles et traduction La Swija - Crash info

Crash info

-Bonjours comment aller vous chef? vous aller bien?
- Ca va, ca va
- Alors?
- Bien comme prévue, j'ai travaillé sur votre dossier
- Alors on a tous de dans?
- Ouais, c'est impeccable
- On a le scoop la?
- Bon ça va alors, on envoie tous ça pour la coupe vas y
Bah! pose tous sur mon bureau va y, on y va; c qui m'appelle là putain?

Quoi? y a trop de bruit derrière toi
Tu me dis trop de mot à la seconde en plus j'te comprend pas
Il me dit que j'ai de quoi faire un scoop
Qui y a une pluie de mort dans plusieurs états
Et que le pays se prit une balle dans le foie
Sort de mon bureau, préviens ma rédaction
On a le scoop du siècle donc, je veux tout le monde en action
Loïsse, j'veux savoir combien de victimes?
Où sont les témoins?
Et surtout qui sont les coupables de ces actes de chien
J'prend mon caméraman encore des les vapes, répare mon sac
Mon excitation me fait oublie les clef sur la table
Préviens mon équipe je vais en direction d'un incident pour recueillir un maximum d'information
Et sur la route j'suis bloquer par la brumes je vois rien nette
Il me semble apercevoir ces deux sœurs sans têtes
Tous se bruit me rend sourd je voit mon scoop qui court
Y a tellement de panique sais plus où me mettre
Je voyais pas les chose comme ça
Des mort par ci, par là et je me rend compte que les pompier n'ont pas assez de bras
Et Carlos branche ta camera on n'a pas que sa à faire
On a d'autres pluies à commander dans d'autres états
C bon on passe à l'antenne dans combien là? . va y, on y va
Mesdames et messieurs c Diego pour un flash info sur Swiija canal en direct de ma
Les passager du vol sept mille cinq cent quarante trois
A destination de Washington
Sont priés de se présenter porte C pour un embarquement immédiat

J'aime pas l'avion mais bon obliger de le prendre
Car j'ai des rendez-vous a l'extérieur avec les vols intérieur
Un job de boomerang le salaires de la peur et ces frayeur
Que j'ai touts le temps au décollage
Au fond je suis qu'un pion et les couleurs de ma nation ne deviennent que des taches
On croit grimper les étages
Mais on descend avec les chaines humaines fausses élection, guerres pétrolières
L'histoire est lourde dans nos pages j'essaye de dormir j'arrive pas
Bientôt 1 noie ici y a pas de piste et tout d'un coup l'ambiance noircie
J'essaye d'y voir clairs, l'hôtesse en pleur, les stuwart en crise de nerfs, les mots fusse
3-4 mecs dans cockpits, des cutteur, merde étouffer par la peur
Les larmes paralysés, suis aveuglé par ces, par ces buildings qu'on vient de frôler
J'ai l'impression d'apercevoir la ville de Manhattan
J'ai compris le peuples va payer de sa vie
Le prix fort dernier coupe-fils dans la folie on est déjà mort
L'espoir c dur sans plus de réponse à mes questions
Une chose est sûr je ne prendrai jamais plus l'avion
"Les News, le dernier journal de la soirée (jeune) le journal (jeune)
Messieurs vous en voulais un? (ouais, donne moi en un) vous en voulais un? (s'il te plait), (tenez) merci!

Un œil sur le quotidien
Allume le chandelier il prend pas leurs temps sur un papier
Ils ont mit un coup de sabre dans mon sablier
De là ma femme et mes enfants arrivent effrayer
Il parait que ma photo est sur tout les chaines télévisés
J'ai beau zapper de partout j'suis rechercher se papier disait bien vrai, ils ont voler mon identité
Il parle de moi comme un soldat des USA
Formé à la CIA et appuyer par El_Jasira
Maintenant, je comprends ses vidéos, mais je confirme se jour-là, comme tous les autres qui tafer au boulot
Il parle d'un mec sec, un turban sur la tête, mec à la barbe au bec, bref avec je dois combattre
C'est au village qu'ils veulent m'avoir et m'abattre, c'est lâche, un drôle d'hasard
C'est là que le pétrole se cache
Ils passent de fausses infos avec mon nom en gros
Envoie des militant au peuple afghans pour mettre Kaboul à dos
Tu parles d'un drame (tu parles d'un drame)
Il ajoute que je suis polygame alors j'aime qu'une femme (une seule)
Je me présente avant de me faire la belle, mon nom à moi, marier forcer à deux jumelles

Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictif
Toute ressemble avec des personnes, des situation excitante, ne serait être que fortuite

Crash Info

-Good morning, how are you doing, chief? Are you well?
- I'm fine, I'm fine
- So?
- Well, as planned, I worked on your file
- So we have everything in it?
- Yeah, it's perfect
- Do we have the scoop?
- Well, it's good then, let's send all this for the cup, let's go
Bah! Put everything on my desk, let's go; who's calling me there, damn it?

What? There's too much noise behind you
You're saying too many words per second, I can't understand you
He tells me I have enough for a scoop
That there's a rain of death in several states
And that the country took a bullet in the liver
Get out of my office, warn my editorial staff
We have the scoop of the century, so I want everyone in action
Loïsse, I want to know how many victims?
Where are the witnesses?
And above all, who are the culprits of these dog acts
I take my cameraman still in the vapes, repair my bag
My excitement makes me forget the keys on the table
Warn my team, I'm going to an incident to gather as much information as possible
And on the road I'm blocked by the fog, I can't see anything clearly
I think I see those two headless sisters
All this noise makes me deaf, I see my scoop running
There's so much panic, I don't know where to go
I didn't see things like this
Dead people here, there and I realize that the firefighters don't have enough arms
And Carlos, plug in your camera, we don't have just that to do
We have other rains to order in other states
Okay, we're going on air in how long? . let's go, let's go
Ladies and gentlemen, this is Diego for a newsflash on Swiija channel live from my
Passengers on flight seven thousand five hundred forty-three
To Washington
Please report to gate C for immediate boarding

I don't like the plane, but I have to take it
Because I have appointments outside with the domestic flights
A boomerang job, the salary of fear and its frights
That I always have at takeoff
Deep down, I'm just a pawn and the colors of my nation are just becoming stains
We think we're climbing the floors
But we're going down with the human chains, fake elections, oil wars
History is heavy in our pages, I try to sleep, I can't
Soon one will drown here, there's no track and suddenly the atmosphere darkens
I try to see clearly, the hostess in tears, the stewards in a nervous breakdown, the words fuse
3-4 guys in the cockpit, cutters, shit, suffocated by fear
Tears paralyzed, I'm blinded by these, by these buildings we just grazed
I feel like I see the city of Manhattan
I understand, the people will pay with their lives
The high price, last cut-off in the madness, we're already dead
Hope is hard without more answers to my questions
One thing is for sure, I will never take the plane again
"The News, the last news of the evening (young) the newspaper (young)
Gentlemen, would you like one? (yeah, give me one) would you like one? (please), (here) thank you!

An eye on the daily life
Light the candlestick, they don't take their time on a piece of paper
They put a sword stroke in my hourglass
From there, my wife and children arrive scared
It seems that my picture is on all the TV channels
I try to zap everywhere, I'm wanted, this paper was right, they stole my identity
He talks about me like a soldier of the USA
Trained by the CIA and supported by El_Jasira
Now, I understand these videos, but I confirm that day, like all the others who work at work
He talks about a dry guy, a turban on his head, a guy with a beard on his beak, in short with whom I have to fight
It's in the village that they want to get me and kill me, it's cowardly, a strange coincidence
That's where the oil is hidden
They pass false information with my name in big
Send activists to the Afghan people to put Kabul on their backs
You talk about a drama (you talk about a drama)
He adds that I am polygamous, so I love only one woman (only one)
I introduce myself before I run away, my name is, married by force to two twins

The characters and situations in this story are purely fictional
Any resemblance to persons, exciting situations, would be purely coincidental