paroles de chanson Jon Snow - Lacrim
J'ai
grandi
seul,
j'ai
pas
beaucoup
d'attaches
C'est
lorsque
l'on
s'ennuie
que
l'on
fait
des
achats
J'reviens
de
Colombie,
j'attends
mon
bagage
J'essaie
de
deviner
quelle
salope
a
de
la
re-p'
dans
la
chatte
Aucune
honte
à
avoir,
ma
mère
avait
du
mal
à
payer
son
loyer
Mais
grâce
à
Dieu,
j'suis
là
pour
elle
Le
soir,
j'me
mets
à
boire,
j'suis
le
même
dans
le
miroir
Elle
fait
95D
naturelle
avec
des
yeux
de
miel
La
même
couleur
qu'y
a
sous
la
crosse
d'une
Kalash
Les
deux
peuvent
t'envoyer
au
ciel
Ils
s'entendaient
bien,
c'étaient
de
vrais
assoc'
Il
lui
a
mis
dans
la
tête
pour
une
histoire
d'oseille
Mon
contrat
vaut
la
baraque
à
Olivier
Nusse,
coño
J'vais
pouvoir
épouser
Cendrillon,
embryon
L'année
d'avant,
j'avais
la
Patek
Nautilus,
là,
j'ai
la
Patek
Tourbillon
Ils
n'ont
pas
le
même
charisme,
pas
les
mêmes
épaules
Tu
voudrais
faire
comme
moi
mais
tu
sais
pas
t'y
prendre
Y'a
des
gros
gaillards
dans
la
rue
qui
me
demandent
des
photos
Ils
me
donnent
leur
téléphone,
ils
ont
les
mains
qui
tremblent
C'est
vrai,
je
fume
des
joints,
je
suis
le
jefe
du
coin
Que
Dieu
m'en
soit
témoin,
oui,
je
reviens
de
loin
Tellement
loin,
que
j'ai
pu
faire
quelques
affaires
avec
ton
père
S'il
était
actif
dans
les
années
2000
J'connais
la
trahison
de
l'homme
et
le
vice
de
la
femme
De
la
fleur
qui
se
fane,
de
la
douleur
de
la
flamme
Puis,
je
connais
celle
qui
avale
et
le
bruit
de
la
rafale
J'connais
des
femmes,
putain,
c'est
des
merveilles
J'connais
des
mecs
qui
étaient
chauds
et
qu'ont
beaucoup
parlé
Là,
canon
dans
la
bouche,
ils
ont
pissé
sur
eux
On
prend
la
route,
un
convoi,
deux-trois
voitures
Mes
enfants,
c'est
leur
père
et
tu
le
vois
sur
eux
Ils
disent
que
j'vends
du
rêve,
ouais,
mais
je
les
vis
J'te
rassure,
mes
cauchemars
sont
aussi
forts,
j'ai
un
cœur
J'suis
rempli
en
émotions
(nique
ta
mère)
Mais
toi,
tu
vois
que
mes
chaussures
Beaucoup
sur
le
dos,
j'vais
quand
même
t'aider
Force
pas,
sur
ma
colonne,
y'a
des
fissures
Elle
me
dit
"je
t'aime"
dans
une
villa
avec
vue
sur
la
mer
Mais
dirait-elle
pareil
si
toutes
les
fins
de
mois,
j'étais
dans
la
merde
Le
mental
est
fort,
aussi
fort
que
ton
coffre-fort
J'fais
des
efforts,
des
grosses
couilles
et
une
barre
de
fer
Non-apprivoisé
dans
ma
tour
d'ivoire
Le
pouvoir
d'y
voir,
oui,
mon
khey,
va
falloir
t'y
faire
Sur
le
banc
des
accusés,
tu
lui
dis
que
tu
veux
des
gosses
Mais
dans
une
tenue
abusée,
ouais,
ouais
On
compte
plus
ceux
qu'on
a
blessés
Je
te
dis
pas
la
note
du
resto,
tu
vas
faire
un
AVC
Ce
matin,
j'ai
pris
le
large,
après
200
mètres
à
la
nage
Allons
prendre
un
petit
déj',
ma
maison
est
à
la
page
Mais
l'amour
est
à
la
déch'
donc
j'ai
pris
deux
femmes
de
ménage
La
peau
du
python
est
beige
Petit,
t'as
qu'à
tourner
la
page,
mon
cœur
a
brûlé
dans
la
neige
Et
mes
dix
ans
près
d'un
chauffage
Puis,
rangé
dans
un
sarcophage
J'ai
prié
Dieu
pour
qu'on
m'allège,
le
T-max
a
tourné
toute
la
nuit
J'crois
que
j'vais
me
faire
ce
petit
fils
de
pute
en
guise
de
sacrifice
Et
comme
dans
Gomorra,
je
me
vengerai
sur
la
même
place
Une
rafale
avec
un
beau
feu
d'artifice
J'dors
avec
elle,
je
la
vois
me
faire
les
poches
Je
ferai
semblant
jusqu'à
demain
Pour
que
cette
petite
pute
s'imagine
juste
le
temps
d'une
nuit
Que
je
ne
suis
pas
le
plus
malin
C'est
vrai,
de
temps
à
autre
que
le
succès
monte
à
la
tête
Personnellement,
c'est
pas
mon
cas
Deux
verres
de
vodka,
ramène
un
compèt
sur
un
coup
de
tête
J'rentre
en
roue
dans
le
cabinet
de
l'avocat
Ok
(ok,
ok,
ok)
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