On
dirait
ton
regard
d'
une
vapeur
couvert;
Ton
oeil
mystérieux,
- est-il
bleu,
gris
ou
vert?
- Alternativement
tendre,
rêveur,
cruel.
Réfléchit
l'
indolence
et
la
pâleur
du
ciel
Tu
rappelles
ces
jours
blancs,
tièdes
et
voilés,
Qui
font
se
fondre
en
pleurs
les
coeurs
ensorcelés,
Quand,
agités
d'
un
mal
inconnu
qui
les
tord,
Les
nerfs
trop
éveillés
raillent
l'
esprit
qui
dort
Tu
ressemble
parfois
à
ces
beaux
horizons
Qu'
allument
les
soleils
des
brumeuses
saisons;
- Comme
tu
resplendis,
paysage
mouillé
Qu'
enflamment
les
rayons
tombant
d'
un
Ciel
Brouillé!
O
femme
dangereuse!
Ô
séduisants
climats!
Adorerai-je
aussi
ta
neige
et
vos
frimas,
Et
saurais-je
tirer
de
l'
implacable
hiver
Des
plaisirs
plus
aigus
que
la
glace
et
le
fer?
Dein
Blick
scheint
von
Dunst
verhüllt
zu
sein;
Dein
geheimnisvolles
Auge
– ist
es
blau,
grau
oder
grün?
– Wechselnd
zärtlich,
träumerisch,
grausam.
Es
spiegelt
die
Trägheit
und
Blässe
des
Himmels
Du
erinnerst
an
diese
weißen,
lauen,
verschleierten
Tage,
Die
verzauberte
Herzen
in
Tränen
schmelzen
lassen,
Wenn,
gequält
von
unbekanntem
Leid,
das
sie
zerreibt,
Die
überreizten
Nerven
den
schlafenden
Geist
verspotten
Manchmal
gleicht
du
jenen
schönen
Horizonten,
Die
die
Sonnen
nebliger
Jahreszeiten
erleuchten;
– Wie
du
strahlst,
du
durchnässte
Landschaft,
Entflammt
von
Strahlen,
die
aus
einem
Wolkigen
Himmel
fallen!
O
gefährliche
Frau!
O
betörende
Gefilde!
Soll
ich
auch
deinen
Schnee
und
eure
Kälte
anbeten,
Und
könnte
ich
aus
dem
unerbittlichen
Winter
Freuden
ziehen,
schärfer
als
Eis
und
Eisen?