Paroles et traduction Les Hurlements d'Leo - Louise

Louise

Trop ravissante pour son âge
Elle tape d'un couvert ses 20 ans
Passés à se faire dorloter, les mains trop sales avant de dîner
Pêché mignon de catholique
A pris la trique avant de s'marier
Le sourire périphérique, une vie qui passe
Et celui-là qui passe et qui repasse sans qu'on ne se lasse
Une vie trop courte pour qu'elle se plaigne
Et ce bidet qui s'vide de ses saletés piochées durant cette nuit, oh Louise

Elle étend son cul, comme on hisse un mât
Un étendard aux aveugles te monte et te remonte
Tant que le pis, s'y frotte s'y pique
A la passe, à la trappe, sur la place

Il est moins le quart, Louise, il est temps que tu te rhabilles
Il est moins le quart, Louise, ce soir elle, elle te déshabille
Trouve le pigeon qui mène au quart d'heure américain

Trop ravissante pour son âge, Louise sourit aux impuissants
Salue les fous et les passants
A guichet elle use de ses charmes
Et dans la pomme de sa main sommeille le vert qu'est dans le fruit
Pourrira la vie de quiconque lui sourit
Tarif de groupe ou étudiant, tout est bon pour gagner de l'argent
Quant aux enfants qui passent, ils la trouvent plutôt jolie
Dans son accoutrement de bête de nuit, de vierge ou de putain
Louise sourit aux impuissants

Il est moins le quart, Louise, il est temps que tu te rhabilles
Il est moins le quart, Louise, il est temps que tu te rhabilles
Trouve le pigeon qui mène au quart d'heure américain

Trop ravissante pour son âge
Elle tape d'un couvert ses 20 ans
Passés à se faire dorloter, les mains douces à l'avant-dîner
Pêché mignon de catholique
A pas pris la trique avant de s'marier
Trop de sourire périphérique, une vie qui passe
Et celui-là qui passe et qui repasse sans qu'on ne se lasse
Une vie trop courte pour qu'elle se plaigne
Et ce bidet qui s'vide de ses saletés piochées durant cette nuit, oh Louise

Elle étend son cul, comme on hisse un mât
Un étendard aux aveugles te monte et te remonte
Tant que le pis, il est moins le quart, Madame la putain se déshabille

Elle étend son cul comme on hisse un mât
Un étendard aux aveugles te monte et te remonte
Tant que le pis, s'y frotte s'y pique

Louise

Too stunning for her age,
She taps her 20 years with a piece of cutlery
Spent being pampered, hands too dirty before dinner
Catholic's guilty pleasure,
Took the stick before getting married
The peripheral smile, a life that passes
And that one who comes and goes without us getting tired
A life too short for her to complain
And that bidet emptying its filth picked up during this night, oh Louise

She spreads her ass, like hoisting a mast
A banner for the blind rises and rises again
As long as the breast rubs and pricks itself there
At the pass, at the trapdoor, on the square

It's a quarter to, Louise, it's time for you to get dressed again
It's a quarter to, Louise, tonight she, she undresses you
Find the sucker who leads to the American quarter-hour

Too stunning for her age, Louise smiles at the impotent
Greets the fools and the passers-by
At the counter she uses her charms
And in the palm of her hand sleeps the green that's in the fruit
Will rot the life of anyone who smiles at her
Group or student rate, anything goes to make money
As for the children who pass by, they find her rather pretty
In her attire of a night creature, a virgin or a whore
Louise smiles at the impotent

It's a quarter to, Louise, it's time for you to get dressed again
It's a quarter to, Louise, it's time for you to get dressed again
Find the sucker who leads to the American quarter-hour

Too stunning for her age,
She taps her 20 years with a piece of cutlery
Spent being pampered, hands soft before dinner
Catholic's guilty pleasure,
Didn't take the stick before getting married
Too much peripheral smile, a life that passes
And that one who comes and goes without us getting tired
A life too short for her to complain
And that bidet emptying its filth picked up during this night, oh Louise

She spreads her ass, like hoisting a mast
A banner for the blind rises and rises again
As long as the breast, it's a quarter to, Madam whore undresses

She spreads her ass like hoisting a mast
A banner for the blind rises and rises again
As long as the breast rubs and pricks itself there