Loquillo - La mafia del baile, la ley del compás - traduction des paroles en français

Paroles et traduction Loquillo - La mafia del baile, la ley del compás




La mafia del baile, la ley del compás
La mafia du bal, la loi du rythme
Hay un lugar donde aún se baila
Il y a un endroit l'on danse encore
En los rincones de mi ciudad
Dans les coins de ma ville
Donde aún hay tipos mucho más duros
il y a encore des types bien plus durs
De lo que puedas imaginar
Que tu ne peux pas imaginer
Tienen su hogar en las cloacas
Ils ont leur foyer dans les égouts
Tienen su ley sobre el compás
Ils ont leur loi sur le rythme
Apuestan quien empeña el alma
Ils parient qui engage son âme
Por un minuto de baile más
Pour une minute de danse de plus
Auh, auh
Auh, auh
Baja a los rincones de tu ciudad
Descends dans les coins de ta ville
Auh, auh
Auh, auh
Cede a tus zapatos la locura de bailar
Laisse tes chaussures céder à la folie de danser
Hay un dj en pie de guerra
Il y a un DJ prêt à la guerre
Que a su señal vibra el timbal
À son signal, le timbal vibre
Y mi cabeza da contra el techo
Et ma tête tape contre le plafond
Y aunque yo quiera, no puedo parar
Et même si je le veux, je ne peux pas m'arrêter
Ten precaución del club de baile
Sois prudent avec le club de danse
Por la nación se extiende ya
Il s'étend déjà dans toute la nation
No hay nada y fe más nihilista
Il n'y a rien de plus nihiliste
Que esta energía de tipo animal
Que cette énergie de type animal
Auh, auh
Auh, auh
En este club solo hay un refrán
Dans ce club, il n'y a qu'un dicton
Auh, auh
Auh, auh
Todo es basura lo que no sirve para bailar
Tout ce qui ne sert pas à danser est de la camelote
Auh, auh
Auh, auh
Busca en los rincones de tu dial
Cherche dans les coins de ton cadran
Auh, auh
Auh, auh
Leyendo a los malditos no se aprende a pelear
En lisant les damnés, on n'apprend pas à se battre
Auh, auh
Auh, auh
Baja a los rincones de tu ciudad
Descends dans les coins de ta ville
Auh, auh
Auh, auh
Cede a tus zapatos la locura de bailar
Laisse tes chaussures céder à la folie de danser





Writer(s): Sabino Méndez


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