Paroles et traduction Marty McKay - Mitläufer-Syndrom

Mitläufer-Syndrom

Ich säg nöd immer das wo beliebt isch und d Mehrheit wet köre
Ich losä uf di inneri Stimm wodruf jede set schwöre
Es gaht nöd ums provoziere sondern ums differenziere
Selber studiäre um di ander Site z artikuliere
Sie chönd mich ignoriäre oder ständig witer zensiäre
I dä Öffentlichkeit muemer sich vom McKay distanziäre
Zelebriäred mich aber sobald kei Kamera me lauft
Wills genau wüssed mini Meinig isch ufrächt und nöd kauft
Bini s schwarze Schaf oder sind di andere eifach all glich?
Sie unterdrücked Informatione wiä im dritte Riich
Immer me Mensche sind gedanklich in ganz änge Handschälle
Ich kör zu de letschte Jedi und kämpfe zäme mit de Rebälle
Es schlat Wälle denn mer bräched us dä Zälle i de änge Tabelle
Gnueg mit kollektiver Verblödig, packer mer es Übel ah de Quellä
Es isch Zit Guetmänsche z enttarne und zeige wie sie würklich sind
Trimmt, übelgsinnt, kein Instinkt, total blind
Sie mached immer alles mit, glaubed jede Shit
Wo ihne es Hochgfühl git, bald hät jede en Chip
Fake woke aber nöd wach, seelisch total schwach
Dänked kein einzeige Zug vorus bim Schach
S isch ei Meinig erlaubt, em freie dänke beraubt
De ganzi Muet klaut, niämer wo sich getraut
Öppis zsäge susch wird s Bild versaut
Alles schwarz-wiis, Grautön sind jetz out
Wi lang wetsch där vo de Medie säge lah werd hasse muesch?
Heb där de Spiegel ane bis du erblasse duesch
Moralismus wird Tyranei, total irrational
Zeiged mit erhobene Finger ganz emotional
Sueched öppis im usse wo sie beschäftigt
Losed nur uf Meinige wos Unwüsse bekräftigt
S Ziel isch dass mer gegen usse immer guet da staht
Innerlich unsicher will de Muet ständig nah laht
Es gaht nur um s Darstelle vo de eigene Guetheit
Sobald konfrontiert, lueg wiän er verseit
Hebed de Finger geg jede vo de falsch Site
Nächer bi Gott i däne apokalyptische Zite
Mit de Betroffeheitmasche macheds Stimmig
Sich berusche zlah uf de richtige Site zstah isch billig
Springed uf jede Trend
Wiäne Nymphomanin wo mit jedem pennt

Sie händ s Mitläufer Syndrom
Schwimmed immer mit em Strom
Moralisch isch de Ton
Kei Seel sondern nur en Klon

Mini Kariere brucht en Booster, drum lami la impfe
Denn isch en Durchbruch garantiert, das stoppt s verunglimpfe
D Firewall wird mit jedem Update Stuck für Stuck zerstört
Bis System ad Gränze chunt aber Kritik blibt unerhört
WEF, WHO, und BAG
NWO, GA-VI - oh je mi ne
Mis Bluet ohni RNA giz bald i de Blockchain als NFT
Konstant verdammt provokant, im Widerstand so bekannt
Sie änderet s Profilbild mit jedem neue Trend
D Medie diktiered Tag täglich was sie wennd
Sie übernähmed eis zu eis brav was ihne vordiktiert wird
Verlore wiä de Jim i dä Truman Show wo unreflektiert irrt
En Guetmänsch erchänt mer am verwände vo de Gender-Sprach
Eh kompletti Generation so verblödet, da lit mer brach
Wenns chalt isch isch es Wätter und susch isch es Klima
Mit dä digitale Identität Schritt für Schritt richtig China
Diä Twitter Trolls, händ nur en Groll, nimmt keine voll
Sind nur en Teil, vom Protokoll
Dis Smartphone seit, hüt Abig wer, du hasse chasch
Staatsreligion, du riese Spasst
Fürd Wüsseschaft, bhalt d Maske ah, für immer ja
Bin gwüssehaft, in Spinner-Jahr
Du Covidiot, alles Schwurbler, Putin Verstehr
Dure bi rot, Hobby-Ufsehr
Mit Hashtags in Chrieg, ganz ohni Liächt
Händ Todesangst, vo Grippe-Vir, sind unbeliäbt
Di Gwalt vo links, wird neuerdings, ja akzeptiert
Wiä Übergriff, vom Tigrillo, prostituiert
Young Global Bitch, wiä uf em Strich, ich hoff du brichsch
Verfassigsbruch, kein Widerspruch
Sie möged mich, nöd wäge dem, wo ich säge
Stell där mal vor, was ich dänke

Sie händ s Mitläufer Syndrom
Schwimmed immer mit em Strom
Moralisch isch de Ton
Dummheit im Endstadium

Strebe nach Richtum isch bös, aber du schaffsch bim Staat
Du willsch dass all teiled, und gisch selber nüt ab
Nur wenn uf anderi zeigsch, denn fühlsch di so starch
Sobald niämer aneluegt, denn bisch en Primat
Formbari Masse, wer dueni hüt hasse
Egal weli Rasse, duemi apasse
Held uf de Taste, händ aber kein Blasse
Di Angst ohni Maske, isch nöd zum fasse
Für Cancel Culture, wännd sie en Schalter
Das sind nur Spalter, lit das am Alter?
Fact-checking Lügner, alles Betrüger
Schick eu zum Krüger, denn sinder hinüber
Fridays for future, aber pro Fracking
Mitleid errege, leider bisch kän King
Sie forderet Sache, di ander müends träge
Eh böses Erwache, vo Hüchler umgäbe
Wännd alli gern abeziäh wo me als sie händ
Gege sachliche Usdusch sinds wit resistänt
Gege Kapitalismus mit neusten iPhone
So liäbed dä Täter und händs Stockholm Syndrom
Sind bloss Marionette, dä QR isch d Chette
Wo sind bloss di eigne Facette?
Hetzed geg jede wo andrer Meinig isch
Wer vom Narrativ abwicht isch en Rassischt
Mit jedem Programm Shift werdets unrifer
Redet vo Gott aber sind bi Luzifer
Vom Mainstream findet alles ghör
D Schaf wartet uf Befehl wi bim Dompteur
Chratzed nur dete wos anderi jucked
Bi de eigene Tür chere müends denn leer schlucke
Via Neurolink verbunde mit dä AI
Säg em freie Wille endgültig goodbye

Syndrome du suiveur

Je ne dis pas toujours ce qui est populaire et ce que la majorité veut entendre,
j'écoute ma voix intérieure, celle sur laquelle chacun devrait jurer.
Il ne s'agit pas de provoquer mais de se différencier,
d'étudier par soi-même pour articuler l'autre côté.
Ils peuvent m'ignorer ou continuer à me censurer,
en public, il faut se distancier de McKay.
Mais ils me célèbrent dès qu'il n'y a plus de caméra,
car ils savent pertinemment que mon opinion est droite et non achetée.
Suis-je le mouton noir ou les autres sont-ils tout simplement pareils ?
Ils répriment l'information comme dans le Troisième Reich,
de plus en plus de gens sont intellectuellement menottés.
J'appartiens aux derniers Jedi et je me bats aux côtés des rebelles,
ça fait des vagues car on s'échappe des cellules dans ce tableau étroit.
Assez de l'abrutissement collectif, attaquons le mal à la source,
il est temps de démasquer les bien-pensants et de montrer ce qu'ils sont vraiment :
stupides, malveillants, sans instinct, totalement aveugles.
Ils suivent toujours le mouvement, croient à n'importe quelle merde,
pour peu qu'on leur donne un sentiment de supériorité, bientôt tout le monde aura une puce.
Ils se disent "woke" mais ne sont pas réveillés, ils sont faibles d'esprit,
ils n'anticipent aucun coup d'avance aux échecs.
Une seule opinion est autorisée, la pensée libre est privée de ses droits,
tout courage est volé, personne n'ose rien.
Dire quelque chose de travers et l'image est ternie,
tout est noir ou blanc, les nuances de gris sont désormais exclues.
Combien de temps vas-tu te laisser dire par les médias qui tu dois haïr ?
Tiens-toi le miroir sous le nez jusqu'à ce que tu pâlisses,
le moralisme devient tyrannie, totalement irrationnel.
Ils pointent du doigt avec une émotion débordante,
cherchant à l'extérieur de quoi se préoccuper,
ne lisant que les opinions qui confirment leur ignorance.
Le but est de toujours paraître bon aux yeux du monde,
alors qu'ils sont intérieurement incertains, car leur courage les abandonne constamment.
Il ne s'agit que de mettre en scène sa propre bonté,
dès qu'ils sont confrontés, regarde-les se dérober.
Ils pointent du doigt chacun de ceux qui ne sont pas du bon côté,
plus près de Dieu en ces temps apocalyptiques.
Avec leur masque de victimes, ils font l'ambiance,
se calmer en étant sûr d'être du bon côté, c'est facile.
Ils sautent sur chaque tendance,
comme une nymphomane qui couche avec tout le monde.

Ils ont le syndrome du suiveur,
nageant toujours avec le courant.
Le ton est moralisateur,
ils n'ont pas d'âme, ce ne sont que des clones.

Ma carrière a besoin d'un coup de pouce, alors je vais me faire vacciner,
la percée est garantie, ça stoppera le dénigrement.
Le pare-feu est détruit morceau par morceau à chaque mise à jour,
jusqu'à ce que le système atteigne ses limites, mais les critiques restent lettre morte.
FEM, OMS et OFSP,
NWO, GA-VI - oh mon Dieu,
mon sang sans ARN bientôt dans la blockchain en NFT.
Constamment provocateur, si connu dans la résistance,
ils changent de photo de profil à chaque nouvelle tendance.
Les médias dictent chaque jour ce qu'ils doivent penser,
ils appliquent docilement ce qu'on leur dicte.
Perdus comme Jim Carrey dans The Truman Show, errant sans réfléchir.
On reconnaît un bien-pensant à l'utilisation du langage inclusif,
une génération entière si stupide, ça me rend malade.
Quand il fait froid, c'est la météo, et sinon c'est le climat,
avec l'identité numérique, on se rapproche de la Chine.
Ces trolls sur Twitter, pleins de rancœur, ne comprennent rien,
ils ne sont qu'une partie du protocole.
Ton smartphone te dit qui détester ce soir, tu n'as pas le choix,
religion d'État, espèce d'idiot.
Pour la science, garde ton masque, pour toujours oui,
je suis consciencieux, en cette année folle.
Espèce de covidiot, tous des complotistes, Poutine comprend,
reste chez toi quand c'est rouge, passe-temps terminé.
En guerre avec des hashtags, sans aucune lumière,
ils ont peur de la mort, à cause d'une grippe, ils ne sont pas aimés.
La violence de la gauche est désormais acceptée,
comme l'agression d'un tigrillo, prostituée.
Jeune pétasse mondialisée, comme sur le trottoir, j'espère que tu vas craquer,
violation de la Constitution, aucune contradiction.
Ils m'aiment bien, mais pas pour ce que je dis,
imagine ce que je pense.

Ils ont le syndrome du suiveur,
nageant toujours avec le courant.
Le ton est moralisateur,
la bêtise à son paroxysme.

Aspirer à la richesse, c'est mal, mais tu travailles pour l'État,
tu veux que tout le monde partage, mais tu ne donnes rien toi-même.
Ce n'est qu'en montrant les autres du doigt que tu te sens fort,
dès que personne ne regarde, tu n'es qu'un primate.
Masse malléable, qui dois-tu haïr aujourd'hui ?
Quelle que soit la race, tu dois t'adapter.
Héros derrière un écran, mais sans aucune envergure,
ta peur sans masque est incroyable.
Pour la culture de l'annulation, ils voudraient un interrupteur,
ce ne sont que des diviseurs, est-ce dû à l'âge ?
Vérificateurs de faits menteurs, tous des escrocs,
envoyez-les chez le psy, ils sont finis.
Fridays for Future, mais pour la fracturation hydraulique,
susciter la pitié, mais tu n'es pas un roi.
Ils exigent des choses que les autres doivent porter,
un réveil brutal, entouré d'hypocrites.
Ils veulent rabaisser tous ceux qui ont plus qu'eux,
résistants à tout échange objectif.
Contre le capitalisme avec le dernier iPhone,
voilà comment vivent les bourreaux atteints du syndrome de Stockholm.
Ce ne sont que des marionnettes, le QR code est leur chaîne,
où sont passées leurs propres facettes ?
Ils s'en prennent à tous ceux qui ont une opinion différente,
quiconque s'écarte du récit est un raciste.
À chaque changement de programme, ils deviennent plus fous,
ils parlent de Dieu mais sont du côté de Lucifer.
Le courant dominant trouve un écho chez eux,
les moutons attendent les ordres comme chez le dompteur.
Ils ne grattent que là où ça démange les autres,
mais à leur propre porte, ils doivent ravaler leur salive.
Connectés à l'IA via Neuralink,
dis adieu au libre arbitre.