Paroles et traduction Nicolas Peyrac - Tu Me Chavires Le Corps

Tu Me Chavires Le Corps

Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de tendresse tu me caresses
Et tu me laisses presqu′entre l'ivresse et la mort.
Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de jeunesse tu me délaisses
Et ne me restent que d′étranges rêves quand je dors.

Feux de paille ne seront jamais beaucoup plus clairs.
Où que j'aille, ce ne sera pas tout à fait l'hiver.
Je te porte en mon corps, et toi, de l′arbre mort
Tu fais l′arbre qui vit et du piano qui dort, jaillit la symphonie.

Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de tendresse tu me caresses
Et tu me laisses presqu'entre l′ivresse et la mort.
Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de jeunesse tu me délaisses
Et ne me restent que d'étranges rêves quand je dors.

Imaginer l′absence défigure ma vie.
Apprendre le silence comme une nouvelle vie
Me gèlerait le corps, le visage et l'esprit.
Alors ma symphonie deviendrait requiem en manque de "je t′aime".

Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de tendresse tu me caresses
Et tu me laisses presqu'entre l'ivresse et la mort.
Tu me fais tourner la tête, tu me chavires le corps.
Avec un peu de jeunesse tu me délaisses
Et ne me restent que d′étranges rêves quand je dors.

You Make My Head Spin

You make my head spin, you turn my body upside down.
With a little tenderness, you caress me
And you leave me almost between drunkenness and death.
You make my head spin, you turn my body upside down.
With a little youth, you abandon me
And all I have left is strange dreams when I sleep.

Straw fires will never be much brighter.
Wherever I go, it won't quite be winter.
I carry you in my body, and you, from the dead tree
You make the tree that lives, and from the sleeping piano, the symphony bursts forth.

You make my head spin, you turn my body upside down.
With a little tenderness, you caress me
And you leave me almost between drunkenness and death.
You make my head spin, you turn my body upside down.
With a little youth, you abandon me
And all I have left is strange dreams when I sleep.

Imagining the absence disfigures my life.
Learning silence like a new life
Would freeze my body, face and mind.
So my symphony would become a requiem for lack of "I love you".

You make my head spin, you turn my body upside down.
With a little tenderness, you caress me
And you leave me almost between drunkenness and death.
You make my head spin, you turn my body upside down.
With a little youth, you abandon me
And all I have left is strange dreams when I sleep.