Paroles et traduction Nouvelle Vague feat. Adrienne Pauly - Marcia Baila

Marcia Baila

Marcia, elle danse, sur du satin de la rayonne
Du polystirène expansé à ses pieds
Marcia danse avec des jambes, aiguisées comme des couperets
Deux flèches qui donnent des idées, des sensations
Marcia, elle est maigre, belle en scène, belle comme a la ville
La voir danser me transforme, en excitée

Ô Mareto...
Comme ta bouche...
Est immense
Quand tu souris...
Et quand tu ris... je ris aussi
Tu aimes tellement la vie... quel est donc ce froid que l′on sent en toi.
C'est la mort qui t′as assassinée Marcia, c'est la mort qui t'as consumée Marcia,
C′est le cancer que tu as pris sous ton bras, maintenant tu es en cendre, en cendres
La mort c′est comme une chose impossible, et même à toi qui es forte comme une fusée
Et même à toi qui es la vie même Marcia, c'est la mort qui t′as emmenée ...
Marcia danse un peu chinois, la chaleur dans les mouvements d'épaules
A plat comme un hiéroglyphe Inca, de l′opéra
Avec la tête, elle danse aussi très bien, et son visage, danse avec tout le reste
Elle a cherché une nouvelle façon, et l'a inventée
C′est elle, la sauterelle, la sirêne en manque d'amour
Le danseur, dans la flannelle, ou le carton

Ô Mareto...
Comme ta bouche...
Est immense
Quand tu souris...
Et quand tu ris... je ris aussi
Tu aimes tellement la vie... quel est donc ce froid que l'on sent en toi.

Marcia Baila

Marcia, she dances, on satin and rayon
Expanded polystyrene at her feet
Marcia dances with legs, sharp as cleavers
Two arrows that give ideas, sensations
Marcia, she is thin, beautiful on stage, beautiful in the city
Watching her dance transforms me, into an arousal

Oh Mareto...
Like your mouth...
Is immense
When you smile...
And when you laugh... I laugh too
You love life so much... what is this cold that one feels in you.
It was death that assassinated you Marcia, it was death that consumed you Marcia,
It was cancer that you took under your arm, now you are ashes, ashes
Death is like an impossible thing, and even to you who are as strong as a rocket
And even to you who are the very life Marcia, it is death that has taken you...
Marcia dances a little bit Chinese, the heat in the shoulder movements
Flat like an Incan hieroglyph, opera
With her head, she also dances very well, and her face, dances with everything else
She searched for a new way, and invented it
It's her, the grasshopper, the siren in need of love
The dancer, in flannel, or cardboard

Oh Mareto...
Like your mouth...
Is immense
When you smile...
And when you laugh... I laugh too
You love life so much... what is this cold that one feels in you.