Paroles et traduction Pavel Nuñez - Te me perdiste

Te me perdiste

Se me perdió tu nombre
Y ya no pude mencionarte nunca más
Se me atrasó la angustia
Y no pude sufrirte cuando se ameritaba
Se me escapó la lluvia
Y me dejó encharcado de recuerdos, de dolor
Y si esa misma lluvia te mojó quizás recuerdas

Que hubo un loco que de ti se enamoró
Que flotando en tu mirada se perdió
Que la costa de tu boca recorrió a cada minuto buscando pescar un beso
Que respiraba de tu aliento
Que te entregó hasta su lamento, envuelto en la bondad de un gran amor

Se me perdió la noche
Y se quedó dormida en mi oscuridad
Se me adentró el vacío
Buscando tras tu sombra burbujas de colores
Se me escondió la lluvia
Tras la montaña grande que nunca quise escalar
Y si esa misma lluvia te moja quizás recuerdas

Que hubo un loco que de ti se enamoró
Que flotando en tu mirada se perdió
Que la costa de tu boca recorrió a cada minuto, buscando pescar un beso
Que respiraba de tu aliento
Que te entregó hasta su lamento envuelto, en la bondad de un gran amor

Y si esa misma lluvia te mojó quizás recuerdas
Que hubo un yo

Tu m'as perdue

J'ai perdu ton nom
Et je n'ai plus jamais pu te mentionner
J'ai été en retard dans l'angoisse
Et je n'ai pas pu souffrir de toi quand il le fallait
La pluie m'a échappé
Et elle m'a laissé inondé de souvenirs, de douleur
Et si cette même pluie t'a mouillé, tu te souviendras peut-être

Qu'il y avait un fou qui était tombé amoureux de toi
Qui s'est perdu en flottant dans ton regard
Qui a parcouru le rivage de ta bouche chaque minute en essayant d'attraper un baiser
Qui respirait ton haleine
Qui t'a donné jusqu'à sa plainte, enveloppée dans la bonté d'un grand amour

J'ai perdu la nuit
Et elle s'est endormie dans mon obscurité
J'ai pénétré le vide
En cherchant des bulles de couleur derrière ton ombre
La pluie s'est cachée
Derrière la grande montagne que je n'ai jamais voulu escalader
Et si cette même pluie te mouille, tu te souviendras peut-être

Qu'il y avait un fou qui était tombé amoureux de toi
Qui s'est perdu en flottant dans ton regard
Qui a parcouru le rivage de ta bouche chaque minute, en essayant d'attraper un baiser
Qui respirait ton haleine
Qui t'a donné jusqu'à sa plainte enveloppée dans la bonté d'un grand amour

Et si cette même pluie te mouille, tu te souviendras peut-être
Qu'il y avait un moi