Revolver - Babilonia - traduction des paroles en français

Paroles et traduction Revolver - Babilonia




Babilonia
Babilonia
Creo en los milagros mas que Creo en dios
Je crois aux miracles plus qu'en Dieu
Dramas disfrazados de fortuna
Des drames déguisés en fortune
Creo en el infierno y en el cielo
Je crois en l'enfer et au paradis
Mas por aproximación que por mi fe
Mais par approximation plutôt que par ma foi
EL diablo está acabado entre los hombres
Le diable est fini parmi les hommes
Mucho mas hábiles que él
Beaucoup plus habiles que lui
Se emborracha con un jagger por las venas mientras llora
Il s'enivre de Jagger dans ses veines tandis qu'il pleure
Y se pregunta como pudo suceder
Et se demande comment cela a pu arriver
Creo que hoy haré un brindis otra vez
Je crois que je ferai un toast encore une fois aujourd'hui
Por todos los descalzos que caminan
Pour tous les pieds nus qui marchent
Por las ruinas de esta Babilonia
Sur les ruines de cette Babylone
Por todos los borrachos, por la vida
Pour tous les ivrognes, pour la vie
Que corre y que no pare de correr
Qui court et qui ne cesse de courir
No pare de correr, no pare de correr
Ne cesse pas de courir, ne cesse pas de courir
Las lágrimas no son gotas de lluvia
Les larmes ne sont pas des gouttes de pluie
Ni perlas que regala el dios del mar
Ni des perles offertes par le dieu de la mer
Son ratas que huyen de entre los escombros
Ce sont des rats qui fuient parmi les décombres
De vidas arrasadas al azar
De vies ravagées au hasard
Confesión y balas de desprecio
Confession et balles de mépris
Para aquel que arruina sueños por doblones
Pour celui qui ruine les rêves pour des doublons
Y aunque nos juren que arderan en el averno
Et même s'ils nous jurent qu'ils brûleront en enfer
Primero balas y después la confesión
D'abord des balles, puis la confession
Creo que hoy haré un brindis otra vez
Je crois que je ferai un toast encore une fois aujourd'hui
Por todos los descalzos que caminan
Pour tous les pieds nus qui marchent
Por las ruinas de esta babilonia
Sur les ruines de cette Babylone
Por todos los borrachos, por la vida
Pour tous les ivrognes, pour la vie
Que corre y que no pare de correr.
Qui court et qui ne cesse de courir.





Writer(s): Carlos Goni


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