paroles de chanson Par les temps qui courent - Salvatore Adamo
Au
coeur
du
vacarme
de
la
ville
Je
rêve
d'un
jardin
tranquille
Où
je
pourrais
m'asseoir
au
soleil
sur
un
banc
Et
prendre
le
temps
de
saluer
les
gens
J'ai
tellement
de
choses
à
leur
raconter
Oui
mais
dans
la
ville
faudrait
les
crier
J'aimerais
bien
savoir
comment
ils
s'appellent
Leur
tendre
la
main,
prendre
de
leurs
nouvelles
Mais
par
les
temps
qui
courent
Les
gens
passent
leur
chemin
Mais
par
les
temps
qui
courent
A
la
place
des
jardins
Il
y
a
des
tours
qui
montent,
qui
montent
Qui
montent
sans
fin
Des
tours
qui
gardent
pour
elles
Le
soleil
de
nos
matins
Et
toi,
l'ange
en
haillons,
aux
ailes
déchirées
As-tu
trouvé
le
ciel
dans
ta
course
insensée?
Où,
t'étais-tu
perdu
de
la
nuit
à
l'aurore
Dis-moi
juste
où
tu
vas,
en
quoi
tu
crois
encore
Et
toi
l'ombre
qui
passe,
Oui
toi
qui
me
ressembles
Dis-moi
qui
t'as
blessée,
Dis-moi
pourquoi
tu
trembles
Ne
sois
pas
si
pressée
Accordons
nos
deux
pas
On
pourrait
se
raconter
Ce
qui
nous
retient
ici-bas
Et
si
de
nos
solitudes,
Et
si
enfin
elles
se
touchent
Pouvait
naître
une
histoire
jolie
à
raconter
On
accrocherait
des
étoiles
Par-dessus
notre
couche
On
peindrait
dans
nos
regards
Le
bonheur
d'exister
Mais
par
les
temps
qui
courent
Les
gens
passent
leur
chemin
Mais
par
les
temps
qui
courent
A
la
place
des
jardins
Il
y
a
des
tours
qui
montent
Qui
montent,
qui
montent
sans
fin
Des
tours
qui
gardent
pour
elles
Le
soleil
de
nos
matins
Il
y
a
des
tours
qui
montent
Qui
montent,
qui
montent
sans
fin
Des
tours
qui
gardent
pour
elles
Le
soleil
de
nos
matins
1 Pendant que tu dors
2 Par les temps qui courent
3 Le futur n'existe pas
4 Recommencer
5 Sortir de l'ordinaire
6 Mourir dans tes bras
7 Les portes du ciel
8 Trange
9 Toi moi ma nébuleuse
10 Faux semblants
11 Quelques mots de toi
12 Elle m'ensoleille
13 Je veilleirai sur toi
14 Le monde à mal
15 Vous maintenant
16 Louise
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