Amor Real - Agorazein перевод на французский

Amor Real

Me clavé las astillas de esos bancos rotos,
Me hice sangre en la mano rompiendo fotos,
No ganaron mi respeto aquellos tontos,
Nadé en tu mar de llantos y no fue para tanto.
Manto me llamaron desde chico,
Cuando no éramos tan locos por culpa de las putas y los gritos,
Crecimos con sampleos y Daya like the people,
Nunca conseguí el puto iPod, sigo intentando.
Con amor real, yo sufrí por mi colega
Y a pesar de todo perdone a mi hermano Sebas,
No quiero caras nuevas, me quedo con las viejas,
Me cago en Dios cuando se me ensuciaron las zapas.
Esquivé las trampas que pusieron esas tetas,
Superé sus metas, tuve que salir por patas,
Putadas al escuchar sirenas,
¿Qué? porque es distinta la sangre que corre en nuestras venas.
Costillas que se marcan cual barrotes de una celda,
No perdoné las putadas de esas cerdas,
Promesas a mi madre de no meterme mierda
Porque es suyo lo que palpita en mi izquierda.
Y abrí la puerta, facturas y cena fría,
Te quité las puñaladas, tú no quitaste las mías,
Bendiciendo como Ice Cube un buen día
Y antes cuado me mentía, mira tía.
Gilipollas, no digas que eres el mejor,
Porque no lo eres, sólo era un reflejo
Y a escondidas como tú dentro el ascensor,
Maquillándote pa que no te viese el viejo.
Y mis patas de conejo no dieron suerte
Y Dios bendiga a los Fernández y a los Situarte,
A los EMS, super hermanos,
Compañeros como Jules y Vincent.
Escuchá ladridos pero no vi los bocados,
No como esos, aprendí de sus fallos,
No de los míos, por eso he de seguir en mi línea
Y injustos y putos como la vida.
Yo lleno de heridas como de pequeño,
Cuando mamá curaba y ya no hacían daño, amor real,
Identidad secreta como MC Doom o como Spiderman,
Patadas, puñetazos por mi clan,¿qué?

Amour Réel

Je me suis enfoncé les échardes de ces bancs brisés,
Je me suis fait saigner la main en brisant des photos,
Je n'ai pas gagné leur respect, ces imbéciles,
J'ai nagé dans ta mer de larmes, et ça n'a pas été si terrible.
On m'a appelé Manteau depuis que je suis petit,
Quand on n'était pas si fou à cause des salopes et des cris,
On a grandi avec des samples et Daya comme le peuple,
Je n'ai jamais eu ce foutu iPod, je continue d'essayer.
Avec un amour réel, j'ai souffert pour mon pote,
Et malgré tout, j'ai pardonné à mon frère Sebas,
Je ne veux pas de nouveaux visages, je garde les anciens,
Je me fiche de Dieu quand mes chaussures se sont salies.
J'ai évité les pièges que ces seins ont posés,
J'ai surpassé leurs objectifs, j'ai dû m'enfuir à toutes jambes,
Des conneries en entendant les sirènes,
Quoi ? parce que le sang qui coule dans nos veines est différent.
Des côtes qui se marquent comme des barreaux d'une cellule,
Je n'ai pas pardonné les conneries de ces truies,
Des promesses à ma mère de ne pas me salir la gueule,
Parce que ce qui bat à gauche est à elle.
Et j'ai ouvert la porte, des factures et un dîner froid,
Je t'ai retiré les coups de couteau, tu n'as pas retiré les miens,
Bénissant comme Ice Cube un beau jour,
Et avant quand je te mentais, regarde ma chérie.
Imbécile, ne dis pas que tu es le meilleur,
Parce que tu ne l'es pas, ce n'était qu'un reflet,
Et à l'insu de tous, comme toi dans l'ascenseur,
Te maquillant pour que le vieux ne te voie pas.
Et mes pattes de lapin n'ont pas porté chance,
Et que Dieu bénisse les Fernández et les Situarte,
Les EMS, super frères,
Des compagnons comme Jules et Vincent.
J'ai entendu des aboiements mais je n'ai pas vu les morsures,
Pas comme eux, j'ai appris de leurs erreurs,
Pas des miennes, c'est pourquoi je dois continuer sur ma lancée,
Et injustes et salauds comme la vie.
Je suis plein de blessures comme quand j'étais petit,
Quand maman soignait et que ça ne faisait plus mal, un amour réel,
Identité secrète comme MC Doom ou comme Spiderman,
Des coups de pied, des poings pour mon clan, quoi ?