De Qué Me Sirve Llorar (Version 98) - OBK перевод на французский

De Qué Me Sirve Llorar (Version 98)

Ahah ahah ahah ahah
Noches enteras sin poder dormir,
Buscando razones para no perder
Todo lo que te di.

Nunca en la vida pude imaginar
Que hubiera en el mundo tanta soledad.
¿De qué me sirve llorar?

Jamás estás.
¿De qué me sirve llorar?

Herido en el alma, una vez más, por ti,
Creí que el destino lo podía cambiar,
Y el tiempo se me va.

Tristes momentos para recordar
Quién tiene la llave de nuestra amistad.
Hoy he vuelto a llorar, sí,
Por ti.

Jamás estás.
Hoy he vuelto a llorar, sí,
Por ti.

Ahah ahah ahah ahah
Tu recuerdo es mi desgracia;
No hago más que recordar.
El silencio me atormenta;
Necesito mucho más.
Mi conciencia es la culpable,
Pues no entiende que tu ausencia es verdadera
Y mi tristeza, lo que quiere es olvidar.

Jamás estás
¿De qué me sirve llorar?

Cuantas maneras para comprender
Todo este tiempo que esperé vivir
Siempre junto a ti.
No noo
Toda esperanza de poder salvar
Estos seis años de sinceridad
No pueden quedarse aquí, no.
¡No!

Jamás estás.
No pueden quedarse aquí, no.
¡No!

Noches enteras sin poder dormir,
Buscando razones para no perder
Todo lo que te di.
No noo
Nunca en la vida pude imaginar
Que hubiera en el mundo tanta soledad.
¿De qué me sirve llorar?
Hee, ¿de qué?

De Qué Me Sirve Llorar (Version 98)

Ahah ahah ahah ahah
Des nuits entières sans pouvoir dormir,
À la recherche de raisons pour ne pas perdre
Tout ce que je t'ai donné.

Jamais de ma vie je n'aurais pu imaginer
Qu'il y aurait autant de solitude au monde.
À quoi bon pleurer ?

Tu n'es jamais là.
À quoi bon pleurer ?

Blessé dans l'âme, une fois de plus, par toi,
Je croyais que le destin pouvait changer,
Et le temps passe.

Des moments tristes à se rappeler
Qui a la clé de notre amitié.
Aujourd'hui, j'ai pleuré encore, oui,
Pour toi.

Tu n'es jamais là.
Aujourd'hui, j'ai pleuré encore, oui,
Pour toi.

Ahah ahah ahah ahah
Ton souvenir est mon malheur ;
Je ne fais que me souvenir.
Le silence me tourmente ;
J'ai besoin de beaucoup plus.
Ma conscience est la coupable,
Car elle ne comprend pas que ton absence est réelle
Et ma tristesse, ce qu'elle veut, c'est oublier.

Tu n'es jamais là
À quoi bon pleurer ?

Combien de façons de comprendre
Tout ce temps que j'ai attendu de vivre
Toujours à tes côtés.
Non non
Tout espoir de pouvoir sauver
Ces six années de sincérité
Ne peuvent pas rester ici, non.
Non !

Tu n'es jamais là.
Ne peuvent pas rester ici, non.
Non !

Des nuits entières sans pouvoir dormir,
À la recherche de raisons pour ne pas perdre
Tout ce que je t'ai donné.
Non non
Jamais de ma vie je n'aurais pu imaginer
Qu'il y aurait autant de solitude au monde.
À quoi bon pleurer ?
Hee, à quoi ?