Текст и перевод песни 10,000 Maniacs - City Of Angels - Live: The Orpheum Theater, Boston, Mass. 29 April '88

City Of Angels - Live: The Orpheum Theater, Boston, Mass. 29 April '88

Heaven, is this heaven where we are?
See them walking, if you dare, if you call that walking.
Stumble, stagger, fall and drag themselves along the streets of heaven.

Where is the blessed table to feed all who hunger on earth,
Welcomed and seated each one joyfully served?
See them walking, if you dare, if you call that walking.
Stumble, stagger, fall and drag themselves along the streets of heaven.

Where is the halo that should glow 'round your face,
And where are the wings that should grow from your shoulder blades?
Show them to me.
These are sobering sights I've seen in the City of Angels
Have all been one rude awakening that was dues to me in heaven.

There would have been heavenly music I was convinced before.
A host of the dearly to meet me with Hosannas sung at the door,
But these are sobering sights I've seen in the City of Angels
Have all been one rude awakening that was dues to me in heaven.
In this city of fallen angels.

Ville des Anges - En direct: Orpheum Theater, Boston, Mass. 29 avril '88

Mon chéri, est-ce que c'est le paradis où nous sommes ?
Les vois-tu marcher, si tu oses, si tu appelles ça marcher.
Ils titubent, vacillent, tombent et se traînent le long des rues du paradis.

Où est la table bénie pour nourrir tous ceux qui ont faim sur terre,
Accueillis et assis, chacun servi joyeusement ?
Les vois-tu marcher, si tu oses, si tu appelles ça marcher.
Ils titubent, vacillent, tombent et se traînent le long des rues du paradis.

Où est le halo qui devrait briller autour de ton visage,
Et où sont les ailes qui devraient pousser de tes omoplates ?
Montre-les moi.
Ce sont des visions sobres que j'ai vues dans la Ville des Anges
Ont toutes été un rude réveil qui m'était dû au paradis.

Il y aurait eu de la musique céleste, j'en étais convaincue auparavant.
Une foule de bien-aimés pour me rencontrer avec des Hosannas chantés à la porte,
Mais ce sont des visions sobres que j'ai vues dans la Ville des Anges
Ont toutes été un rude réveil qui m'était dû au paradis.
Dans cette ville d'anges déchus.