Текст и перевод песни Culture - Crisis

Crisis

Yeh!

Each day, each night
Crisis gets higher, higher, higher, higher
Poor people soon can't put
Them pot a fire, fire, fire, fire
Each day, each night
Crisis gets higher, higher, higher, higher
Poor people soon can't put
Them pot a fire, fire, fire, fire

Just take a look at some of those in the ghetto
Where not even a stalk of scallion just cannot grow
And even their children seem to be dying from hunger
And them shirt and pants bottom seems to be torn
Ooh yeh, ooh yeh!

But year after next
It ago dreader, dreader, dreader, dreader
And all who survive
Shall live forever, ever, ever, ever
Year after next
It ago dreader, dreader, dreader, dreader
And all who survive
Shall live forever, ever, ever, ever

Just take a look at some of those in the ghetto
Where not even a stalk of scallion just cannot grow
And even their children seem to be dying from hunger
And everything seems to be gone from their possession

But year after next
It ago dreader, dreader, dreader, dreader
And all who survive
Shall live forever, ever, ever, ever
Year after next
It ago dreader, dreader, dreader, dreader
And all who survive
Shall live forever, ever, ever, ever
Year after next
It ago dreader, dreader, dreader, dreader
And all who survive
Shall live forever, ever, ever, ever

I and I and I, are compatible to any
I and I and I, superior to many
I and I and I, inferior to none

But, hey, year after next
It ago dreader, dreader, dreader, dreader
And all who survive
Shall live forever, ever, ever, ever
Year after next
It ago dreader, dreader, dreader, dreader
And all who survive
Shall live forever, ever, ever, ever, ever...

Crise

Ouais !

Chaque jour, chaque nuit
La crise s'aggrave, s'aggrave, s'aggrave, s'aggrave
Les pauvres bientôt ne pourront plus mettre
Leur pot au feu, au feu, au feu, au feu
Chaque jour, chaque nuit
La crise s'aggrave, s'aggrave, s'aggrave, s'aggrave
Les pauvres bientôt ne pourront plus mettre
Leur pot au feu, au feu, au feu, au feu

Juste regarde certains de ceux qui sont dans le ghetto
Où même une tige de ciboulette ne peut pas pousser
Et même leurs enfants semblent mourir de faim
Et le bas de leur chemise et de leur pantalon semble être déchiré
Ooh ouais, ooh ouais !

Mais année après année
Ça devient plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant
Et tous ceux qui survivent
Vivront pour toujours, pour toujours, pour toujours, pour toujours
Année après année
Ça devient plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant
Et tous ceux qui survivent
Vivront pour toujours, pour toujours, pour toujours, pour toujours

Juste regarde certains de ceux qui sont dans le ghetto
Où même une tige de ciboulette ne peut pas pousser
Et même leurs enfants semblent mourir de faim
Et tout semble avoir disparu de leurs biens

Mais année après année
Ça devient plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant
Et tous ceux qui survivent
Vivront pour toujours, pour toujours, pour toujours, pour toujours
Année après année
Ça devient plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant
Et tous ceux qui survivent
Vivront pour toujours, pour toujours, pour toujours, pour toujours
Année après année
Ça devient plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant
Et tous ceux qui survivent
Vivront pour toujours, pour toujours, pour toujours, pour toujours

Moi et moi et moi, sommes compatibles avec tout le monde
Moi et moi et moi, supérieur à beaucoup
Moi et moi et moi, inférieur à personne

Mais, hé, année après année
Ça devient plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant
Et tous ceux qui survivent
Vivront pour toujours, pour toujours, pour toujours, pour toujours
Année après année
Ça devient plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant, plus effrayant
Et tous ceux qui survivent
Vivront pour toujours, pour toujours, pour toujours, pour toujours, pour toujours…