Текст и перевод песни Louis Armstrong - BASIN STREET BLUES

BASIN STREET BLUES

Now won't you come along with me
To the Mississippi?
We'll take a trip to the land of dreams
Blowing down the river, down to New Orleans

The band is there to meet us
Old friends to greet us
That's where the line and the dark folks meet
A heaven on earth, they call it Basin Street

I said, Basin Street, Basin Street
Where the elite always meet
Down in New Orleans, the land of dreams
You'll never know how nice it seems

Or just how much it really means
Just to be, yes, siree, in New Orleans
The land of dreams where I can lose
My Basin Street blues

Now, you're glad you came with me
Down the Mississippi
We took a trip in a land of dreams
And floated down the river down to New Orleans

Where to, Basin Street, Basin Street
Where the elite always meet
Down in New Orleans, the land of dreams
You'll never know how, how much it seems

Or just how much it really means
Just to be, yes, siree, yeah, New Orleans
The land of dreams where I can lose
My Basin Street blues

LE BLUES DE LA RUE BASIN

Alors, veux-tu venir avec moi
Au Mississippi ?
On fera un voyage au pays des rêves
Descendre la rivière jusqu'à la Nouvelle-Orléans

Le groupe est là pour nous accueillir
D'anciens amis pour nous saluer
C'est là que les blancs et les noirs se rencontrent
Un paradis sur terre, ils l'appellent la rue Basin

Je te dis, la rue Basin, la rue Basin
Où l'élite se réunit toujours
Dans la Nouvelle-Orléans, le pays des rêves
Tu ne sauras jamais à quel point ça semble bien

Ou à quel point c'est vraiment important
D'être, oui, ma foi, à la Nouvelle-Orléans
Le pays des rêves où je peux perdre
Mon blues de la rue Basin

Alors, tu es content d'être venu avec moi
Le long du Mississippi
On a fait un voyage dans un pays de rêves
Et on a flotté sur la rivière jusqu'à la Nouvelle-Orléans

Où, rue Basin, rue Basin
Où l'élite se réunit toujours
Dans la Nouvelle-Orléans, le pays des rêves
Tu ne sauras jamais, à quel point ça semble

Ou à quel point c'est vraiment important
D'être, oui, ma foi, ouais, à la Nouvelle-Orléans
Le pays des rêves où je peux perdre
Mon blues de la rue Basin