Текст и перевод песни 808 Luke feat. DaMáfia, Gábe, Santa Rosa & NK - Mustang

Mustang

As minhas leis soam como mandamentos
Por isso sigo versando o mais novo testamento
O que testa a mente é vê-los frustrados por ser sem dote
Enquanto eu levo rimas sagradas, tipo sacerdote
Seguimos na criação de novos mundos tipo Rá
Eles são motivos de piada e me fazem rir
Linhas são filhos e a cada um eu sinto a dor do parto
E os que me enfrentarem saberão como é a dor de partir
Respiram com dificuldades tão em coma
Morrem de fome não se alimentam do que vivem
Ditados disseram que quem tem boca vai a Roma
Provamos que temos punch pra férias no Caribe
Esse é o retorno do hip hop shit
O underground tomando a cena que se revelou Pop
Dançaram conforme a banda toca tipo Happy Feet
De perto derrubei todos me chame de red dot
Agente tipo cassius 7, eu sei de tudo que tudo que se passa
São retrô tipo cassete, visíveis aos predadores
Nos olhos dos pesadelos sujei as mãos por pesar dedos
Mas nunca os dedos por apontar

Yea, cês tão Mad que eu to Max
Cheio de fúria na estrada, Ice Cube: Triple X
Minha caneta aditivada, pra mandar hater pra vala
KKK nunca me cala, só se entrega igual sedex, yea yea
Se eu pisar fundo cês não pega
Na′dianta se não aguenta o peso que o corre carrega
Bateu de front com o bonde se esconde corre e arrega
Corro muito sou Mustang, cês tem kilo? Eu tenho mega, yea yea
Não adianta botar do lado mano
Que aqui cês na'rruma nada
O estúdio é o templo sagrado
Meu culto é no Fruity Loops e as bateria quebrada
Não adianta, tu tá ligado mano
Que aqui tu na′rruma nada
Porque eu trampo todo dia
Minha banca voando alto, tua banca ta estagnada

Onde a caneta corta igual cerol
Onde o horizonte é bem escuro e só mostra um farol
Hoje a caneta ungiu, se a fé for vã, reflexo sorriu
Penunmbra imagem e o cheiro do formol
Refleti e formei, força de barra não adianta morfar
Cês não conseguem não adianta forçar
Quando eu falei sobre a rima ser sua, cê quis cessar
Quando entendeu que ela ser sua não era comprar
Seu som compacto, conta com pacto, tem nem quem cai
Estupefato, calculando o impacto, ta tipo zero
Meu tato severo, cês eu não venero e to intacto
A rima é meu Kekkei Genkai
Zulu hokage, Gábe caçador ambu, da vila dos grandes rios
Somos grandes ninjas, vocês tem só grandes views
Violento com Wolnei no carrinho o peso que carrego é
Foda
E ódio já abrange rios

To me sentindo na mira dos deuses
E da CIA há meses
Mas ja nasci com a vitoria
Somos como siameses
Saimos toda sexta feira
Ainda mais quando é dia 13
Só pra jogar na cara do azar
Eu to duro de matar mais amargo do que bile
Acertando os que vacilam
Com a precisão de Vassili
Vilão como loki, mas meu nome nao é John
Matando todos os lokis eu to como Wick
Saí dessas neuroses e fui na encolha
Pra fazer da minha carteira uma aldeia da folha
Pra nós dia da caça, pra eles dia da coça
Vou rápido demais pique Mustang pra esses Corsa
A guerra é fria e o clima é quente, chefe
Cerra os punhos
E ocupa a nova escola em greve
Onde nós controla a base mesmo a dez mil pés
Visão dos cria é de águia enquanto eles míopes

Sigo ligeiro chapa
Na corrida sem linha de chegada, cês tá ligado
Estrada é longa e de subida, engato a quinta
De zero a milha?
Nem a P.F para
Jamais verão minha derrota
Tenho sede de conquista, a cota deles é a sobra
Meu bonde vem rasgando a pista, nada nos breka
Nada nos pega, nem a praga que ceis roga
Vermes tão na mira pensando q tão na bota
Mas só se for na sola
Nós é materia prima desses rap foda
Cês são materia morta, fiquem com meus dias de glória
Eternos como as rimas escritas no meu caderno
Reciclo versos pra eternidade
Componho com a fé que garantirão minha longevidade
Nesse solo já que aqui é o meu deserto e meu oasis
Céu e inferno, firme a 24 inverno
Inimigo declarado do estado deixo os bico enfermo
Pra falsos Mc's é só desprezo
Porque se o Rap fosse igual ao crime
Nós já tinha sentado o dedo...

Mustang

Mes lois résonnent comme des commandements,
C'est pourquoi je continue à réciter le nouveau testament.
Ce qui teste leur esprit, c'est de les voir frustrés d'être dépourvus de talent,
Alors que je délivre des rimes sacrées, tel un prêtre.
On continue à créer de nouveaux mondes comme Râ,
Ils sont des sujets de plaisanterie et me font rire.
Les lignes sont mes enfants et pour chacune, je ressens la douleur de l'accouchement,
Et ceux qui me confrontent sauront ce qu'est la douleur du départ.
Ils respirent avec difficulté, comme dans le coma,
Ils meurent de faim, ne se nourrissant pas de ce qu'ils vivent.
Les dictons disaient que tous les chemins mènent à Rome,
On prouve qu'on a le punch pour des vacances aux Caraïbes.
C'est le retour du hip-hop shit,
L'underground s'empare de la scène qui s'est révélée Pop.
Ils ont dansé au son de la musique comme dans Happy Feet,
De près, je les ai tous fait tomber, appelle-moi point rouge.
On est comme Cassius 7, je sais tout ce qu'il se passe,
Ils sont rétro comme des cassettes, visibles aux prédateurs.
Dans les yeux des cauchemars, j'ai sali mes mains pour avoir pesé le pour et le contre,
Mais jamais pour avoir pointé du doigt.

Yea, vous êtes furieux que je sois au top,
Plein de rage sur la route, Ice Cube : Triple X.
Mon stylo est boosté, pour envoyer les rageux six pieds sous terre,
Le KKK ne me fera jamais taire, ils abandonnent comme un colis express, yea yea.
Si j'accélère, vous ne pourrez pas suivre,
Inutile de continuer si vous ne supportez pas le poids de la course.
Vous vous êtes heurtés au crew, vous vous cachez, vous courez et vous rechargez,
Je cours vite, je suis une Mustang, vous avez des kilos ? Moi j'ai des mégas, yea yea.
C'est inutile de vous mettre à côté, mec,
Parce qu'ici, vous ne valez rien.
Le studio est le temple sacré,
Mon culte est dans Fruity Loops et les batteries fracassantes.
C'est inutile, tu le sais, mec,
Qu'ici, tu ne vaux rien.
Parce que je bosse tous les jours,
Mon équipe vole haut, la tienne stagne.

Là où le stylo coupe comme du verre pilé,
Là où l'horizon est sombre et ne montre qu'un seul phare.
Aujourd'hui, le stylo a oint, si la foi est vaine, le reflet a souri,
Pénombre, image et odeur du formol.
J'ai réfléchi et j'ai formé, la force brute ne suffit pas à se transformer,
Vous n'y arriverez pas, inutile de forcer.
Quand j'ai dit que la rime était à toi, tu as voulu arrêter,
Quand tu as compris que la posséder ne voulait pas dire l'acheter.
Ton son est compact, compte sur un pacte, personne ne tombe dedans.
Stupéfait, calculant l'impact, tu es comme un zéro.
Mon toucher est sévère, je ne vous révère pas et je suis intact.
La rime est mon Kekkei Genkai,
Zulu Hokage, Gábe chasseur Anbu, du village des grandes rivières.
Nous sommes de grands ninjas, vous n'avez que des grandes vues.
Violent avec Wolnei dans la voiture, le poids que je porte est
Lourd,
Et la haine embrasse déjà les rivières.

Je me sens dans le viseur des dieux
Et de la CIA depuis des mois.
Mais je suis né avec la victoire,
On est comme des siamois.
On sort tous les vendredis soirs,
Surtout quand c'est le 13,
Juste pour narguer la malchance.
Je suis dur à cuire, plus amer que la bile,
Touchant ceux qui flanchent
Avec la précision de Vassili.
Méchant comme Loki, mais je ne m'appelle pas John,
Tuant tous les Loki, je suis comme Wick.
J'ai quitté ces névroses et je suis allé me mettre à l'abri,
Pour faire de mon portefeuille un village de la feuille.
Pour nous, c'est le jour de la chasse, pour eux, le jour de la raclée,
Je vais trop vite, comme une Mustang pour ces Corsa.
La guerre est froide et le climat est chaud, chef,
Serre les poings
Et occupe la nouvelle école en grève,
Où on contrôle la base, même à dix mille pieds.
La vision des jeunes est celle d'un aigle, alors qu'ils sont myopes.

Je continue, tranquille,
Dans la course sans ligne d'arrivée, tu sais ce que c'est.
La route est longue et en montée, je passe la cinquième,
De zéro à cent ?
Même la police ne peut pas nous arrêter.
Vous ne verrez jamais ma défaite,
J'ai soif de conquête, leur part est le reste.
Mon équipe déchire la piste, rien ne nous arrête,
Rien ne nous attrape, même pas la malédiction que vous nous jetez.
Les vers sont dans le viseur, pensant qu'ils sont à la botte,
Mais plutôt sous la semelle.
On est la matière première de ces putains de raps,
Vous êtes de la matière morte, gardez mes jours de gloire.
Éternels comme les rimes écrites dans mon cahier,
Je recycle les vers pour l'éternité,
Je compose avec la foi qui me garantira la longévité
Sur cette terre, car c'est mon désert et mon oasis.
Le ciel et l'enfer, solide à 24 ans,
Ennemi déclaré de l'État, je rends les flics malades.
Pour les faux MC's, ce n'est que du mépris,
Parce que si le rap était comme le crime,
On aurait déjà appuyé sur la détente...