Текст и перевод песни AMBKOR - El mismo dia

El mismo dia

Las lágrimas se vierten en mi blog
Bailan libres como Billy Elliot
Y yo no puedo más conmigo
Si tu puedes déjame tu abrigo
Que muero de frío haciendo hip hop
¿Y que quieres que te cuente que no sepas?
¿Que no tengo nada?
¿Que el banco embargó mis cuentas?
No soy como te piensas
Yo también estoy igual
Como Chris Garner buscando la felicidad
Y el azar me trajo hasta aquí
Quizás yo soy mi problema principal
Es más lo sé seguro
La noche es larga y oscura como el futuro
Y el paro es duro
Y mas un padre sin pan para los suyos
Cada día misma cola por un numero
Mendigar un sueldo cuando siempre te has ganado uno
Y cada factura es un apuro una soga al cuello
Una fractura familiar un amor roto al nervio
Es un corazón sentado en una oficina
Imaginando iluso que hoy es su día
Y sera mentira pero mañana volverá a tirar pa' arriba
Somos los héroes en esta economía fría
Que aleja a las personas de lo que tenían
Cuando todo parecía que fluía
Cuando el banco te vendía calidad de vida
Y hoy te largan de la casa donde crece tu familia

(Marwan)

Se fue el por venir
Nos lo arrancaron de la manos los gobiernos
Gobiernos de un país
Donde el que menos tiene esta pagando el precio
Habrá que sugerir
Que follen algo mas y que nos jodan menos
Se fue el por venir

(Youh Marwan oh)
Amanecer un nuevo día se parece tanto ayer
La cicatriz del paro se instaló en tu piel
Heridas que esta sociedad no quiere ver, no quiere ver
Y es tan cierto el paro es un monstruo que esta hambriento
Que devora sin piedad el bienestar del pueblo
La precariedad te esta mordiéndote los huesos
Lágrimas, lágrimas sobre mi blog están cayendo

Se fue el por venir
Nos lo arrancaron de la manos los gobiernos
Gobiernos de un país
Donde el que menos tiene esta pagando el precio
Habrá que sugerir
Que follen algo mas y que nos jodan menos
Se fue el por venir

(Youh El Chojin)

(Chojin)

Mira, las lágrimas se vierten en mi blog
Pero mis ojos están secos no debo ser yo
Y un monstruo fuera amenazando al vecindario
Un monstruo tan real como yo
Que come puestos de trabajo
Le dicen drama social
Yo prefiero decir fracaso
El sistema esta mal
Si deja a fuera 1 de cada 4
Nunca pueden sobrar manos
Un modelo justo entendería que todos somos validos
¿Esto es lo que llamamos mundo civilizado?
¿Pasar por el aro y ser esclavo de los bancos?
Esperamos el nuevo modelo de iPhone
Y aceptamos que nos puedan echar por ponernos malos
Es el momento para el cambio
La resignación es el peor enemigo para el ciudadano
El paro no cae del cielo es el resultado
De la ineptitud de los que nos han gobernado
Vivimos asustados con miedo a perder el trabajo
O con miedo a no encontrarlo
El miedo es el arma que usan para controlarnos
Y por el control ellos nos siguen explotando
Yo fui quien grito UNETE A MI BANDO
No como el líder si no como hombre cabreado
Ellos ponen los fallos mientras nosotros pagamos?
No hay trato, esta es mi sociedad y yo mando

Se fue el por venir
Nos lo arrancaron de la manos los gobiernos
Gobiernos de un país
Donde el que menos tiene esta pagando el precio
Habrá que sugerir
Que follen algo mas y que nos jodan menos
Se fue el por venir

Ambkor sabes que estoy contigo, ¿vale?
Porque sabes que de todo se sale
Hay colas que se hacen eternas
Una cola a la esperanza
TEN FE.

Le même jour

Les larmes coulent sur mon blog
Elles dansent libres comme Billy Elliot
Et je n'en peux plus de moi
Si tu peux, laisse-moi ton manteau
Que je meurs de froid en faisant du hip-hop
Et que veux-tu que je te dise que tu ne saches déjà?
Que je n'ai rien?
Que la banque a saisi mes comptes?
Je ne suis pas comme tu penses
Je suis moi aussi dans la même situation
Comme Chris Gardner à la recherche du bonheur
Et le hasard m'a mené jusqu'ici
Peut-être que je suis mon principal problème
C'est même sûr que je le suis
La nuit est longue et sombre comme l'avenir
Et le chômage est dur
Et encore plus pour un père sans pain pour les siens
Chaque jour la même queue pour un numéro
Mendier un salaire alors que tu en as toujours gagné un
Et chaque facture est une épreuve, une corde au cou
Une fracture familiale, un amour brisé jusqu'au nerf
C'est un cœur assis dans un bureau
S'imaginant naïvement que c'est son jour de chance
Et ce sera un mensonge, mais demain il recommencera à se battre
Nous sommes les héros de cette économie froide
Qui éloigne les gens de ce qu'ils avaient
Quand tout semblait aller de soi
Quand la banque te vendait la qualité de vie
Et aujourd'hui ils te jettent de la maison où grandit ta famille

(Marwan)

L'avenir s'est envolé
Les gouvernements nous l'ont arraché des mains
Gouvernements d'un pays
Où celui qui a le moins paie le prix fort
Il faudrait leur suggérer
De baiser un peu plus et de nous faire chier un peu moins
L'avenir s'est envolé

(Youh Marwan oh)
Un nouveau jour se lève, il ressemble tellement à hier
La cicatrice du chômage s'est installée sur ta peau
Des blessures que cette société ne veut pas voir, ne veut pas voir
Et c'est tellement vrai, le chômage est un monstre affamé
Qui dévore sans pitié le bien-être du peuple
La précarité te ronge les os
Des larmes, des larmes coulent sur mon blog

L'avenir s'est envolé
Les gouvernements nous l'ont arraché des mains
Gouvernements d'un pays
Où celui qui a le moins paie le prix fort
Il faudrait leur suggérer
De baiser un peu plus et de nous faire chier un peu moins
L'avenir s'est envolé

(Youh El Chojin)

(Chojin)

Regarde, les larmes coulent sur mon blog
Mais mes yeux sont secs, ce ne doit pas être moi
Et un monstre à l'extérieur menace le quartier
Un monstre aussi réel que moi
Qui dévore les emplois
On appelle ça un drame social
Je préfère dire un échec
Le système est mauvais
S'il laisse 1 personne sur 4 à la porte
Il ne peut jamais y avoir trop de mains
Un modèle juste comprendrait que nous sommes tous valables
C'est ça qu'on appelle un monde civilisé?
Se soumettre et être esclave des banques?
On attend le nouveau modèle d'iPhone
Et on accepte de pouvoir se faire virer pour être tombé malade
Le moment est venu de changer
La résignation est le pire ennemi du citoyen
Le chômage ne tombe pas du ciel, c'est le résultat
De l'incompétence de ceux qui nous ont gouvernés
Nous vivons dans la peur de perdre notre emploi
Ou dans la peur de ne pas le trouver
La peur est l'arme qu'ils utilisent pour nous contrôler
Et par le contrôle, ils continuent de nous exploiter
C'est moi qui ai crié REJOIGNEZ MON CAMP
Non pas comme le leader, mais comme un homme en colère
Ils font les erreurs et c'est nous qui payons ?
Hors de question, c'est ma société et c'est moi qui commande

L'avenir s'est envolé
Les gouvernements nous l'ont arraché des mains
Gouvernements d'un pays
Où celui qui a le moins paie le prix fort
Il faudrait leur suggérer
De baiser un peu plus et de nous faire chier un peu moins
L'avenir s'est envolé

Ambkor tu sais que je suis avec toi, d'accord?
Parce que tu sais qu'on s'en sort toujours
Il y a des files d'attente qui sont interminables
Une file d'attente pour l'espoir
GARDE LA FOI.