Текст и перевод песни Accept - 200 Years (Live)

200 Years (Live)

Lights out forever, After the final war
Cities reduced to rubble as plant lipe settles the score
Bridges and tunnels collapsing, Towers no longer stand
A post traumatic Eden where roaches rule the land
No more civilization, Only shadows remain
No more death or pollution... Population zero
Welcome to the stone age, 200 Years after mankind
Welcome to the silent scream, The Earth has been reclaimed
Welcome to the stone age, 200 Years after mankind
A paradise for no one, And no one left to blame
Gone are the seven wonders, Pyramids only survive
Paradise has been erased, Earth again will thrive
Continental glaciers scrape the planet clean
Removing any remnants of society
No more traffic and madness, No more nuclear power
No more new technology... Population zero
Welcome to the stone age, 200 Years after mankind
Welcome to the silent scream, The Earth has been reclaimed
Welcome to the wasteland, 200 Years after mankind
A paradise for no one, And no one left to blame

200 ans (Live)

Plus jamais de lumière, après la guerre finale
Les villes réduites en ruines alors que la vie végétale règle le score
Les ponts et les tunnels s'effondrent, les tours ne se tiennent plus debout
Un Eden post-traumatique où les cafards règnent sur le pays
Plus de civilisation, seules les ombres subsistent
Plus de mort ni de pollution... Population zéro
Bienvenue à l'âge de pierre, 200 ans après l'humanité
Bienvenue au cri silencieux, La Terre a été reconquise
Bienvenue à l'âge de pierre, 200 ans après l'humanité
Un paradis pour personne, et personne à blâmer
Les sept merveilles ont disparu, seules les pyramides survivent
Le paradis a été effacé, la Terre revivra
Les glaciers continentaux raclent la planète
Enlevant tous les vestiges de la société
Plus de circulation et de folie, plus d'énergie nucléaire
Plus de nouvelles technologies... Population zéro
Bienvenue à l'âge de pierre, 200 ans après l'humanité
Bienvenue au cri silencieux, La Terre a été reconquise
Bienvenue dans le désert, 200 ans après l'humanité
Un paradis pour personne, et personne à blâmer