Текст и перевод песни AchtVier - Hörst du drauf? (Instrumental)

Hörst du drauf? (Instrumental)

Eyo, jetzt wird's eklig, sag wie schmeckt der Penis?
Deine Deckung schäbig, es hagelt mächtig Drehkicks
Pressluftfetis', Ghettomäßig. Geschäft erledigt, so wie wir rappst du eh nicht
Das geht AyAyAy, rann ans Mic
Ich baller gleich Hammerlines
Und schick dein Arsch zurück in die Walachei
Was fürn Hype, he? Ich wurde höchstens angezeigt
Handle gleich, ey, weil du plapperst wie ein Papagei
Plapperst wie ein Wasserfall, doch wer beschützt dich?
Denn danach wirst du gejagt, so als wärst du flüchtig
Ey yo das hier macht dich süchtig, dieser AchtVier liefert Bombentracks
Und knallt deine Olle weg mit Olexesh
Bodycheck, die Jolle schmeckt, jeder will mal paffen
Von HH nach Darmstadt, Runden drehen in den Gassen
Treffpunkt Parkplatz, Schwarzfarbne Knete in den Taschen
Wird investiert um es aus diesem Elend raus zu schaffen

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Wenn der Rum dir nichts bringt, und dein Herz schreit nach mehr
Da gehts rein, da gehts raus, jeder Atemzug fällt schwer
Deal mit Haze oder Smartphones, fick ich auf den Staat
Diese Lügen hab ich satt, Hamburg Siskat
Hörst du drauf was die Politiker sagen?
Ich hol mir jetzt das Bare, weil die sowieso verarschen
Sag mir, machst du dich lieber zu nem Sklaven?
Also bleib ich auf der Straße, verkauf Elektronikwaren

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Ah
Sie vergleichen mich mit Vinz von La Haine
Weil ich Punche drücke, Sätze in die Gegend wo sie stehen
Mein Leben läuft kreuz und quer, ich brauche Scheine in den Taschen
Los verkauf den LCD und auch die restlichen Waren
Ich will auch mal Smoking tragen, endlich teure Karren fahren
Doch sie geben mir nichts ab, deswegen krall ich mir den Staat
Ich überfall die Bank nackt, damit sie sehen das ich nichts hab
Nur eine Uzi in der Hand, und mit der Hoffnung das es klappt
Ja es geht rat-tat-tat-tat, hol dir dein Ticket ab du Chab
Ich liefer massenweise Flows, ja kommt drauf an was man so hat
Ich sag AyAyAyAy, wieso schiebt ihr so ein Hype?
Seid ihr alle zu gefickt? Kein Talent, kann das sein?
Was für mich zählt ist FFM, Darmstadt Represent
Hamburg, jag den Cent bis zum Kranichsteiner Camp
Es ist meine Stadt ihr Nutten so wie aka Detroit
Olexesh, Unikat. Hamburg, Nase läuft

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Hörst du drauf was die Politiker sagen?
Ich hol mir jetzt das Bare weil die sowieso verarschen
Sag mir, machst du dich lieber zu nem Sklaven?
Also bleib ich auf der Straße, verkauf Elektronikwaren
Wenn der Rum dir nichts bringt, und dein Herz schreit nach mehr
Da gehts rein, da gehts raus, jeder Atemzug fällt schwer
Deal mit Haze oder Smartphones, fick ich auf den Staat
Diese Lügen hab ich satt, Hamburg Siskat

Tu écoutes ? (Instrumental)

Eyo, maintenant ça devient dégoûtant, dis-moi, quel est le goût du pénis ?
Ta couverture est minable, il pleut des coups de pied tournants.
Fetichiste de l’air comprimé, ghetto style. Affaire conclue, tu ne rappe pas comme nous de toute façon.
Ça y est, AyAyAy, au micro.
Je vais te balancer des punchlines d’enfer.
Et renvoyer ton cul en Valachie.
Quel buzz, hein ? J’aurais au maximum été signalé.
Je m’occupe de tout tout de suite, mec, parce que tu bavardes comme un perroquet.
Tu bavardes comme une cascade, mais qui te protège ?
Parce qu’après, tu seras traqué, comme si tu étais un fugitif.
Ey yo, ça te rend accro, ce AchtVier livre des morceaux de bombe.
Et fait disparaître ta meuf avec Olexesh.
Bodycheck, la go est bonne, tout le monde veut se taper une latte.
De Hambourg à Darmstadt, on fait des tours dans les rues.
RDV au parking, du fric noir dans les poches.
Il sera investi pour sortir de cette misère.

:
Si le rhum ne te suffit pas et que ton cœur crie après plus.
On y va, on en ressort, chaque respiration est difficile.
Deal avec du haze ou des smartphones, je m’en fiche de l’État.
J’en ai marre de ces mensonges, Hambourg Siskat.
Tu écoutes ce que disent les politiques ?
Je vais me prendre du cash, parce que de toute façon, ils se foutent de nous.
Dis-moi, préfères-tu devenir un esclave ?
Alors je reste dans la rue, je vends des produits électroniques.

:
Ah
Ils me comparent à Vinz de La Haine.
Parce que je lance des punchlines, des phrases qui atterrissent là où elles doivent.
Ma vie est chaotique, j’ai besoin de billets dans mes poches.
Allez, vends l’écran LCD et tous les autres produits.
Je veux aussi porter un smoking, enfin conduire des voitures chères.
Mais ils ne me donnent rien, alors je me fais justice moi-même.
Je braque la banque nu, pour qu’ils voient que je n’ai rien.
Juste une Uzi dans la main, et l’espoir que ça marche.
Ouais, c’est rat-tat-tat-tat, prends ton ticket, toi, le bouffon.
Je délivre des flows à gogo, oui, ça dépend de ce qu’on a.
Je dis AyAyAyAy, pourquoi vous poussez un tel buzz ?
Vous êtes tous complètement à la ramasse ? Pas de talent, c’est possible ?
Ce qui compte pour moi, c’est FFM, Darmstadt Represent.
Hambourg, on chasse le sou jusqu’au camp de Kranichstein.
C’est ma ville, vos salopes, comme Detroit.
Olexesh, unique. Hambourg, le nez qui coule.

:
Tu écoutes ce que disent les politiques ?
Je vais me prendre du cash, parce que de toute façon, ils se foutent de nous.
Dis-moi, préfères-tu devenir un esclave ?
Alors je reste dans la rue, je vends des produits électroniques.
Si le rhum ne te suffit pas et que ton cœur crie après plus.
On y va, on en ressort, chaque respiration est difficile.
Deal avec du haze ou des smartphones, je m’en fiche de l’État.
J’en ai marre de ces mensonges, Hambourg Siskat.