Текст и перевод песни Ade - Pomerium

Pomerium

Sic deinde cuicumque alius transiliet moenia mea

All this started with two brothers
In a place where time was stuck
This marble didn't see any light yet
There was nothing but woods

Vultures flew in a sky once pure
Unconscious they where going to decide
The world whole destiny, the path of civility
The line of blood dividing past and future

Sons of the Tiber, sons of the wolf
Owners of this world
Sons of the Tiber, sons of the wolf
Owners of this world

Mars looked from up high
Pointed a finger and said
"Only one will survive
He'll be the king of my reign"

Now the vultures have to choose,
The who will see them first
But Mars can't give a reign
Without a drop of blood

Weaker one crossed Pomerium
Insult to Gods and his brother
Mars is ready to receive a sacrifice
The blood will baptize this empire

His same blood on his hands
The same colour of sunset
While the vultures fly in a red sky
Mars laughs in a silent cry

Sic deinde cuicumque alius transiliet moenia mea

Mars is ready to receive a sacrifice
The blood will baptize this empire

Pomerium

Ainsi donc, quiconque d’autre franchira mes murs

Tout cela a commencé avec deux frères
Dans un endroit où le temps était bloqué
Ce marbre n’avait encore jamais vu la lumière
Il n’y avait que des bois

Les vautours volaient dans un ciel autrefois pur
Inconscients, ils allaient décider
De toute la destinée du monde, du chemin de la civilisation
La ligne de sang divisant le passé et l’avenir

Fils du Tibre, fils du loup
Propriétaires de ce monde
Fils du Tibre, fils du loup
Propriétaires de ce monde

Mars regarda d’en haut
Pointa du doigt et dit
"Un seul survivra
Il sera le roi de mon règne"

Maintenant, les vautours doivent choisir,
Celui qui les verra en premier
Mais Mars ne peut pas donner un règne
Sans une goutte de sang

Le plus faible a franchi le Pomerium
Insulte aux Dieux et à son frère
Mars est prêt à recevoir un sacrifice
Le sang baptisera cet empire

Son propre sang sur ses mains
La même couleur que le coucher du soleil
Alors que les vautours volent dans un ciel rouge
Mars rit dans un cri silencieux

Ainsi donc, quiconque d’autre franchira mes murs

Mars est prêt à recevoir un sacrifice
Le sang baptisera cet empire