Текст и перевод песни Afu-Ra - Open

Open

Yeah, baby, how you, now what you wanna do
Instead of working these ways, I should of been loving
Creepin′ off, type of ways, I should of been true to you
Huggin' and rubbin′, or comin' home just to talk to you
Play some chest, in the rest, so make love to you
So what cha, what cha, what cha, wanna do?
I seen my life flashin' my face in, my present, future and memories
Memoirs of a czar, to caught sars, from dreams in the stars
Melodies over the precious bars
The beat and you together, are like matrimony
Cuz when I hear it or see you, I be the one and only
Why me, then why you, the simple kind
Of things, like my favorite color is blue
It can′t be planted in me, backwards and forwards with me
Out of this planet with me
If I had to I would, I lock you up in the chamber with me

I, I wanna love you baby, love you baby
I, I wanna feel your body, up and down
Up inside me

It′s like breafast in bed for the first time
That's right, sometimes I wish I lived my life in rewind
Steady going through the motions, yeah, of every emotion
Transpire, smooth as my outfit
Mondays is paisley, wednesday is vaguely arguile
Saturdays, fit with the charming smile
So won′t you meet me at the el flamingo
Forget about the Christ' jingles, we sip mohitos
The feelings are high for you, they tri-lingual
African drums, Russian hip hop, and disco
It only takin′ three moves, you all up in my zone
Like tic - tac - and toe
Yo, it's so easy, cuz these other cats is jah-so-bro′s

So let's pain an oasis
From the clouds, up to the constellations, to be our basement
Beats run home, hot tub in the living room
No space for satisfaction, well I'mma make room
Pawns hittin′ the tomb, horns blowin′ to the moon
If I could taste you on the platter, I wanna be spoon fed
No condiments, and no sauce, forget the bread
12 o'clock, in the morning, as I start the yawnin′
I feel your body calling, ready for the installment
Like the flower you are, open up, I drop my pollen in
We interwine like knowledge, all up in my rhyme again

Ouvert

Ouais, bébé, comment vas-tu, maintenant que veux-tu faire
Au lieu de travailler de cette façon, j'aurais dû t'aimer
Je traînais, c'est le genre de choses, j'aurais dû être sincère avec toi
Te serrer dans mes bras et te caresser, ou rentrer à la maison juste pour te parler
Jouer aux échecs, au calme, et te faire l'amour
Alors que veux-tu faire, que veux-tu faire, que veux-tu faire ?
J'ai vu ma vie défiler devant mes yeux, dans mon présent, mon futur et mes souvenirs
Mémoires d'un tsar, attraper le SRAS, de rêves dans les étoiles
Mélodies au-dessus des barres précieuses
Le rythme et toi ensemble, c'est comme un mariage
Parce que quand je l'entends ou te vois, je suis le seul et unique
Pourquoi moi, alors pourquoi toi, c'est simple
Des choses, comme ma couleur préférée est le bleu
Elle ne peut pas être plantée en moi, dans les deux sens
Hors de cette planète avec moi
Si je devais, je t'enfermerais dans la chambre avec moi

Je, je veux t'aimer bébé, t'aimer bébé
Je, je veux sentir ton corps, de haut en bas
En moi

C'est comme un petit déjeuner au lit pour la première fois
C'est ça, parfois je voudrais que ma vie soit en rewind
Je suis constamment en train de faire les choses, oui, de chaque émotion
Se réaliser, aussi fluide que ma tenue
Le lundi c'est paisley, le mercredi c'est vaguement argyle
Le samedi, une tenue avec un sourire charmant
Alors tu ne veux pas me rejoindre au El Flamingo
Oublie les chants de Noël, on sirote des mojitos
Les sentiments sont forts pour toi, ils sont trilingues
Tambours africains, hip hop russe et disco
Il ne faut que trois mouvements, tu es dans ma zone
Comme tic - tac - et toe
Yo, c'est tellement facile, car ces autres chats sont des jah-so-bro'

Alors peignons une oasis
Des nuages, jusqu'aux constellations, pour être notre sous-sol
Les rythmes rentrent à la maison, jacuzzi dans le salon
Pas de place pour la satisfaction, eh bien, je vais faire de la place
Les pions touchent le tombeau, les cornes sonnent à la lune
Si je pouvais te goûter sur le plateau, je veux être nourri à la cuillère
Pas de condiments, ni de sauce, oublie le pain
12 heures, du matin, alors que je commence à bâiller
Je sens ton corps t'appeler, prêt pour l'installation
Comme la fleur que tu es, ouvre-toi, je dépose mon pollen dedans
On s'entremêle comme la connaissance, dans ma rime encore