Текст и перевод песни Aine - Tutto Dorme (feat.Ghemon & Davide Shorty)

Tutto Dorme (feat.Ghemon & Davide Shorty)

Giù nel sottosuolo tutto dorme
Giù nel sottosuolo tutto dorme

Giù nel sottosuolo tutto dorme
Il giorno cala corde
Ci si contorce
In certe ore delle sera che diventan notte
La realtà è quell′animale quindi spesso morde
Non contano le cose che finiscon prima,
Tanto provo col rimpianto o con la disciplina
Ma bambina il piano si inclina alle volte
E come primo tu pensami forte
In ogni istante è come estate
Anime esposte, bandiere issate
La stanza è una galera ma non ha le grate,
La testa è una prigione ma il discorso evade.
Chiodo fisso quanto mi stresso
Quando mi inabisso e poi di solito cresco
Nella risalita mi domando a che prezzo
Anche se. non so, ci sto passando attraverso

Non mi senti? Sono qui
Siamo soli, credimi
Voglio vivere così
Senza meta o limiti
Non mi senti?
Sono qui
Siamo soli
Siamo soli

Adesso che d' istinto abbraccio il tuo fiato,
Cullandolo quasi come un neonato,
Mentre il sole ci consiglia il da farsi
Cado
Mi rialzo sul bagnato a piccoli passi
Non è che sappia a cosa vada incontro
Mi basta solo averti allora sono pronto.
Qualunque cosa sia
Voglio imparare a liberarne la poesia.
Riparati dalla pioggia per quanto fitta,
Nessuna voglia di accettare una sconfitta,
Dal punto in cui il nostro tempo inizia
Ed ogni ferita si cicatrizza,
In questa calma fittizia,
La nostra realtà si analizza
Mentre si irrompe
La tempesta irrompe
E noi ci divertiamo in balia delle onde.

Non mi senti? Sono qui
Siamo soli, credimi
Questa notte asciugherà
Ogni lacrima che ho
Siamo soli, credimi
C′è qualcuno? sono qui
Voglio vivere così
Senza meta o limiti
Non mi senti?
Sono qui
Siamo soli
Siamo soli.

Tout dort (feat. Ghemon & Davide Shorty)

En bas, dans les profondeurs, tout dort
En bas, dans les profondeurs, tout dort

En bas, dans les profondeurs, tout dort
Le jour descend, les cordes se tendent
On se tortille
À certaines heures du soir qui deviennent nuit
La réalité est cet animal qui mord souvent
Les choses qui finissent en premier ne comptent pas,
Tant que je ressens le regret ou la discipline
Mais chérie, le plan penche parfois
Et comme une priorité, pense à moi, fort
À chaque instant, c'est comme l'été
Âmes exposées, drapeaux hissés
La pièce est une prison, mais il n'y a pas de barreaux,
La tête est une prison, mais le discours s'échappe.
Je suis obsédée, tant que je suis stressée
Quand je m'enfonce et puis, d'habitude, je grandis
Dans la remontée, je me demande à quel prix
Même si je ne sais pas, je traverse tout ça.

Tu ne me sens pas ? Je suis là
On est seuls, crois-moi
Je veux vivre comme ça
Sans but ni limites
Tu ne me sens pas ?
Je suis là
On est seuls
On est seuls

Maintenant que j'embrasse instinctivement ton souffle,
Le berçant presque comme un nouveau-né,
Alors que le soleil nous conseille quoi faire
Je tombe
Je me relève sur le mouillé à petits pas
Ce n'est pas que je sache où je vais
Il me suffit de t'avoir, alors je suis prêt.
Quoi que ce soit
Je veux apprendre à en libérer la poésie.
Protégés de la pluie, aussi dense soit-elle,
Pas envie d'accepter une défaite,
Du point où notre temps commence
Et chaque blessure se cicatrise,
Dans ce calme fictif,
Notre réalité s'analyse
Alors que ça déferle
La tempête déferle
Et on s'amuse au gré des vagues.

Tu ne me sens pas ? Je suis là
On est seuls, crois-moi
Cette nuit séchera
Chaque larme que j'ai
On est seuls, crois-moi
Il y a quelqu'un ? Je suis là
Je veux vivre comme ça
Sans but ni limites
Tu ne me sens pas ?
Je suis là
On est seuls
On est seuls.