Текст и перевод песни Alastor - Nothing to Fear

Nothing to Fear

You′ve been blinded by god's grace for far too long
Always forced to repent while you′re doing wrong
Slavery as your birthright, there's no way out

Sick of getting along with the human kind
Strange devices they use to control your mind
Trying to tell you what life should be all about

You were all out of hope, afraid to take the fall
You must gather the courage to end it all
Got a feeling that things just aren't what they seem
You′ve got nothing to fear

It has been all the same since the world was young
You are left with no choice but to play along
Tranquilized by the lies passing through your mind
Faint reminders of feelings from years that passed
New distractions are useless, they never last
Now you know that you always have been this blind

You were all out of hope, afraid to take the fall
You must gather the courage to end it all
Got a feeling that things just aren′t what they seem
You've got nothing to fear

Rien à craindre

Tu es aveuglée par la grâce de Dieu depuis trop longtemps
Toujours obligée de te repentir alors que tu fais le mal
L'esclavage comme droit de naissance, il n'y a pas d'échappatoire

Fatiguée de t'entendre avec l'humanité
D'étranges dispositifs qu'ils utilisent pour contrôler ton esprit
Essayer de te dire ce que la vie devrait être

Tu étais sans espoir, tu avais peur de tomber
Tu dois rassembler le courage pour mettre fin à tout cela
J'ai le sentiment que les choses ne sont pas ce qu'elles semblent
Tu n'as rien à craindre

Tout a toujours été pareil depuis que le monde est jeune
Tu n'as pas d'autre choix que de jouer le jeu
Tranquilisée par les mensonges qui traversent ton esprit
De vagues souvenirs de sentiments d'années passées
Les nouvelles distractions sont inutiles, elles ne durent jamais
Maintenant tu sais que tu as toujours été aveugle

Tu étais sans espoir, tu avais peur de tomber
Tu dois rassembler le courage pour mettre fin à tout cela
J'ai le sentiment que les choses ne sont pas ce qu'elles semblent
Tu n'as rien à craindre