Текст и перевод песни Alejandro Fernández - Bajo una Ceiba

Bajo una Ceiba

Y de repente... se hizo de ver llover,
y con el sol apareció
de luz, un hermoso puente de luz
y de arcoiris todo se empapó.
De la montaña arroyos ven bajar
el agua que ríos serán,
y va llevando hacia algún lugar
la vida que nos hará florecer.
Y de la tierra y el agua nacerán
personas nuevas, de verdad.
Me despierto pensando que así será:
Cuando el arrollo baja, ya no tiene regreso,
al mar encontrará.
Soy el campo que atraviesas tú,
el cielo que te ve crecer,
y soy la yunta que abre tu piel,
donde sembré mi fe que está a tus pies.
Y te vi llevar todo en la espalda
y tu dolor quise calmar.
Sí, Dios, ¿podrías escucharme?
Tú sabes bien que soy hombre de bien;
sabes también que pido poco,
que de esta tierra vengo yo.
Me despierto pensando que así será:
Cuando el arrollo baja, ya no tiene regreso,
al mar encontrará

Sous un Ceiba

Et soudain... il a commencé à pleuvoir,
et avec le soleil est apparu
de lumière, un magnifique pont de lumière
et de l'arc-en-ciel tout s'est imbibé.
Des torrents de la montagne viennent descendre
l'eau qui sera des rivières,
et elle porte vers un endroit
la vie qui nous fera fleurir.
Et de la terre et de l'eau naîtront
de nouvelles personnes, vraiment.
Je me réveille en pensant que ce sera comme ça :
Quand le ruisseau descend, il n'y a plus de retour,
il trouvera la mer.
Je suis le champ que tu traverses,
le ciel qui te voit grandir,
et je suis le joug qui ouvre ta peau,
où j'ai semé ma foi qui est à tes pieds.
Et je t'ai vu porter tout sur ton dos
et ta douleur, j'ai voulu l'apaiser.
Oui, Dieu, pourrais-tu m'entendre ?
Tu sais bien que je suis un homme bien ;
tu sais aussi que je demande peu,
que de cette terre, je viens.
Je me réveille en pensant que ce sera comme ça :
Quand le ruisseau descend, il n'y a plus de retour,
il trouvera la mer.