Текст и перевод песни Alela Diane - The Rifle

The Rifle

I've been knockin' on that door in my sleep
Fighting the fireplace glow
Knockin' on that door in my sleep
Fighting the fireplace glow
To keep me away
To keep me away from home

Papa, get the rifle from its place above the French doors!
They're comin' from the woods!
Oh! They're comin' from the woods!
And mama you're running too
Oh! My mama, you're running too
Brother, I'm so sorry that you watched the paintings burn

I've been holding onto the gold
When letting go would free my hand
And I've been tying your tongue in a knot
Oh! I've been tying your tongue in a knot
To wrap this death
To wrap this death in a sheet

Papa, get the rifle from its place above the French doors!
They're comin' from the woods!
Oh! They're comin' from the woods!
And mama you're running too
Oh! My mama, you're running too
Brother, I'm so sorry that you watched the paintings burn

I can't hide the dirty paths down that carpet anymore
There were too many heavy boots
There were too many heavy boots
There were too many big black boots
And there were too many little brown shoes
Marching through
So I'm counting it to the sky
Oh! I'm counting it to the sky
And moving back to face the lack of home

Le Fusil

Je frappe à cette porte dans mon sommeil
Luttant contre la lueur du foyer
Je frappe à cette porte dans mon sommeil
Luttant contre la lueur du foyer
Pour me tenir à distance
Pour me tenir à distance de la maison

Papa, prends le fusil qui est au-dessus des portes françaises !
Ils arrivent de la forêt !
Oh ! Ils arrivent de la forêt !
Et maman, tu cours aussi
Oh ! Ma maman, tu cours aussi
Frère, je suis tellement désolée que tu aies vu les tableaux brûler

J'ai tenu le l'or
Alors que le lâcher aurait libéré ma main
Et j'ai noué ta langue
Oh ! J'ai noué ta langue
Pour envelopper cette mort
Pour envelopper cette mort dans un drap

Papa, prends le fusil qui est au-dessus des portes françaises !
Ils arrivent de la forêt !
Oh ! Ils arrivent de la forêt !
Et maman, tu cours aussi
Oh ! Ma maman, tu cours aussi
Frère, je suis tellement désolée que tu aies vu les tableaux brûler

Je ne peux plus cacher les sentiers sales qui descendent sur ce tapis
Il y avait trop de bottes lourdes
Il y avait trop de bottes lourdes
Il y avait trop de grosses bottes noires
Et il y avait trop de petites chaussures brunes
Marchant à travers
Alors je le compte jusqu'au ciel
Oh ! Je le compte jusqu'au ciel
Et je reviens pour faire face au manque de foyer