Текст и перевод песни Alessio Arena - La gran novela rusa

La gran novela rusa

Sientes que hoy duele la espalda
Menos que ayer, acaso el mundo está
Arrodillado aquí delante
Y tú lo miras bien de frente

(Más te valiera haberte quedado en tu pueblo)

Tienes razón, eres ciudadano
De periferia mística y social
Es un milagro poder entender
Estar feliz y haber pagado el alquiler

Tiemblan los ejes de tu constelación
Ya cuentan otra historia

Déjate intuir entre el griterío
Quiero hablarte a ti, hermano mío

Cántame todas tus dudas
Sobre la gran novela rusa
Y la poesía del Che Guevara
Ideología y virilidad de tu mentira
La luz que invocas en la noche más oscura

Ya lo hablamos muchas veces, tú
Le tienes miedo a la muerte y a la locura
De ser lo que no se parezca a ti
Dejar la fiesta en paz para vivir
Ir traduciendo el son de tu literatura

Vuelan, tus manos se hicieron de papel
Ya cuentan otra historia

Déjate intuir entre el griterío
Quiero hablarte a ti, hermano mío

(Más te valiera haberte quedado en tu pueblo)

Qué sabe nadie
De lo que te ha querido mi inconstancia
Mi alegría, mi escalofrío

(De qué te han servido los sacrificios de tu madre y hermana
Para costearte una carrera que ni siquiera has sabido terminar
Más te valiera haberte quedado en tu pueblo)

Le grand roman russe

Tu sens que ton dos te fait mal aujourd'hui
Moins qu'hier, peut-être que le monde est
Agenouillé ici devant toi
Et tu le regardes droit dans les yeux

(Tu aurais mieux fait de rester dans ton village)

Tu as raison, tu es un citoyen
De la périphérie mystique et sociale
C'est un miracle de pouvoir comprendre
Être heureux et avoir payé le loyer

Les axes de ta constellation tremblent
Ils racontent déjà une autre histoire

Laisse-toi deviner à travers les cris
Je veux te parler à toi, mon frère

Chante-moi tous tes doutes
Sur le grand roman russe
Et la poésie du Che Guevara
L'idéologie et la virilité de ton mensonge
La lumière que tu invoques dans la nuit la plus sombre

On en a déjà beaucoup parlé, tu
As peur de la mort et de la folie
D'être ce qui ne te ressemble pas
Laisser la fête en paix pour vivre
Aller traduire le son de ta littérature

Elles volent, tes mains sont devenues du papier
Ils racontent déjà une autre histoire

Laisse-toi deviner à travers les cris
Je veux te parler à toi, mon frère

(Tu aurais mieux fait de rester dans ton village)

Personne ne sait
Ce que t'a voulu mon inconstance
Ma joie, mon frisson

(A quoi ont servi les sacrifices de ta mère et de ta sœur
Pour payer une carrière que tu n'as même pas su terminer
Tu aurais mieux fait de rester dans ton village)