Текст и перевод песни Alexey Martinez - Pégate - The Voice Brasil 2016

Pégate - The Voice Brasil 2016

Le lo lai, ay le lo le lo
Yo vengo con cosa buena para mi pueblo
Traigo amor, traigo ese suero
Que alegra los corazones del mundo entero
Pa'l dolor, pa'l mal de amores
Nada como el repique de mis tambores
Que hay que tirarse a la calle, dejando atrás los problemas
Que como decía mi madre: "bailando todo se arregla"
Pégate un poco más
Te llaman los tambores
Olvida los temores
Que el tiempo se nos va
Pégate un poco más
Y mueve esas caderas
Mamita, cosa buena
Que a mí me pone mal
Y que vengan ríos de bondad
A todos los pueblos de la tierra
Que no nos podemos olvidar
Que el amor puro libera y la mentira envenena
Que como decía mi madre: "bailando todo se arregla"
Pégate un poco más
Te llaman los tambores
Olvida los temores
Que el tiempo se nos va
Pégate un poco más y mueve esas caderas
Mamita, cosa buena
Que a mí me pone mal
Que hay que tirarse a la calle, dejando atrás los problemas
Que como decía mi madre: "Vamos pégate ya!"

Pégate - The Voice Brasil 2016

Le lo lai, ay le lo le lo
Je viens avec quelque chose de bien pour mon peuple
J'apporte l'amour, j'apporte ce sérum
Qui réjouit les cœurs du monde entier
Pour la douleur, pour le chagrin d'amour
Rien de tel que le son de mes tambours
Il faut sortir dans la rue, laissant les problèmes derrière nous
Comme disait ma mère : « En dansant, tout s'arrange »
Rapproche-toi un peu plus
Les tambours t'appellent
Oublie tes peurs
Le temps passe
Rapproche-toi un peu plus
Et bouge ces hanches
Ma chérie, c'est bon
Ça me rend fou
Que des fleuves de bonté affluent
Vers tous les peuples de la terre
On ne peut pas oublier
Que l'amour pur libère et que le mensonge empoisonne
Comme disait ma mère : « En dansant, tout s'arrange »
Rapproche-toi un peu plus
Les tambours t'appellent
Oublie tes peurs
Le temps passe
Rapproche-toi un peu plus et bouge ces hanches
Ma chérie, c'est bon
Ça me rend fou
Il faut sortir dans la rue, laissant les problèmes derrière nous
Comme disait ma mère : « Allez, rapproche-toi ! »