Текст и перевод песни Alfredo Olivas - Las Vacaciones del Jefe

Las Vacaciones del Jefe

Yo no he matado a nadie... últimamente
Mi conciencia anda tranquila, yo estoy sonriente
Disfruto mis vacaciones
Lujosas instalaciones
El hotel que a mí me hospeda
Tienes buenas referencias, es de los mejores
Dicen que me andan buscando... para matarme
Que se están afigurando, tontos tacuaches
Quiero verlos que se arrimen
Para cometer un crimen
Sienten que por las son buenos
No se caen en su cerebro
Llegen le para el terreno
Yo aquí los atiendo
Los espero con mi gente
Y también sin ellos puedo
Y no soy Tony Montana
Tampoco el Mayo Zambada
Ni menos la juego
A ver quien le brinca el toro
Para que muerdan el suelo
La mirada no la bajo, no me intimidan
Los contras huelen la muerte y se me arrodillan
Quieren consideraciones
Para que andan de hocicones
Nomás la ven de adeveras, se les escalda la lengua
La garganta se les seca y pelan los ojones
No se arrimen mucho al lago
Que hay cocodrilos, mi mandíbula se abre y ya no averiguo
Me los como con la super
O con el cuerno de chivo
Es mejor que no se arriesguen
Y no anden de prepotentes
Chupense mejor los dientes, es lo que les digo
Tomen bien sus precauciones
Eviten los levantones
Piensen bien en su familia
Para que perder la vida, sin tener razones
No quieran comerse al mundo
Porque él es el que nos come

Les Vacances du Patron

Je n'ai tué personne... récemment
Ma conscience est tranquille, je souris
Je profite de mes vacances
Des installations luxueuses
L'hôtel qui m'héberge
A de bonnes références, il est l'un des meilleurs
Ils disent qu'ils me cherchent... pour me tuer
Qu'ils s'imaginent, ces idiots
J'aimerais les voir se rapprocher
Pour commettre un crime
Ils se croient bons
Ils n'y arrivent pas
Ils me préparent le terrain
Je les attends ici
Je les attends avec mes gens
Et je peux aussi sans eux
Et je ne suis pas Tony Montana
Ni le Mayo Zambada
Je ne joue pas le jeu
On verra qui osera sauter sur le taureau
Pour qu'il morde la poussière
Je ne baisse pas le regard, je ne suis pas intimidé
Les ennemis sentent la mort et s'agenouillent devant moi
Ils veulent des considérations
Pour se montrer arrogants
Quand ils me voient pour de vrai, leur langue se noue
La gorge se dessèche et les yeux sortent de leur tête
Ne t'approche pas trop du lac
Il y a des crocodiles, ma mâchoire s'ouvre et je ne demande plus
Je les mange avec le super
Ou avec la corne de chèvre
Il vaut mieux ne pas prendre de risques
Et ne pas se montrer arrogant
Mets-toi plutôt un doigt dans la bouche, c'est ce que je te dis
Prends tes précautions
Evite les enlèvements
Pense bien à ta famille
Pour quoi perdre la vie sans raison
Ne tente pas de dévorer le monde
Car c'est lui qui nous dévore