Текст и перевод песни Alfredo de Angelis feat. Lalo Martel - No Aflojes
Vos,
que
fuiste
de
todos
el
más
púa,
Toi,
qui
étais
le
plus
rusé
de
tous,
Batí
con
qué
ganzúa
Avec
quel
croche-pied
Piantaron
tus
hazañas...
Tes
exploits
ont
été
plantés...
Por
tu
ausencia
en
las
borracherías
Par
ton
absence
dans
les
beuveries
Cambió
la
estantería
L'étagère
a
changé
El
gusto
de
las
cañas...
Le
goût
des
bières...
Compadrito
de
aquellos
tiempos,
Mon
cher
ami
de
ces
temps-là,
Soy
el
tango
hecho
lamento,
Je
suis
le
tango
fait
de
lamentation,
Corro
parejo
con
tu
pintón,
Je
cours
au
rythme
de
ton
pinceau,
¡sufro
tu
misma
emoción!
Je
ressens
la
même
émotion !
Vos
fuiste
el
rey
del
bailongo
Tu
étais
le
roi
du
bal
En
lo
de
Laura
y
la
Vasca...
Chez
Laura
et
la
Vasque...
¡Había
que
ver
las
churrascas
Il
fallait
voir
les
filles
Cómo
soñaban
tras
tuyo!
Comment
elles
rêvaient
après
toi !
¡Alzaba
cada
murmullo
Chaque
murmure
montait
Tu
taconear
compadrón
Ton
talonnement
de
grand
seigneur
Que
era
como
flor
de
yuyo
Qui
était
comme
une
fleur
de
pissenlit
Que
embrujaba
el
corazón!
Qui
envoûtait
le
cœur !
Maula
el
tiempo
te
basureó
de
asalto
Le
temps
impitoyable
t'a
attaqué
de
front
Al
revocar
de
asfalto
En
recouvrant
d'asphalte
Las
calles
de
tu
barrio...
Les
rues
de
ton
quartier...
No
es
que
quiera
tomarlo
tan
a
pecho
Ce
n'est
pas
que
je
veuille
prendre
ça
à
cœur
¡pero
es
que
no
hay
derecho
Mais
c'est
injuste
Que
hoy
talle
tanto
otario!
Que
l'on
voit
autant
de
crétins
aujourd'hui !
Macho
lindo
de
aquel
pasado,
Beau
mec
de
ce
passé,
Te
saludo
desconsolado,
Je
te
salue
avec
désespoir,
Porque
en
tu
reino
sentimental
Car
dans
ton
royaume
sentimental
Vuelco
la
esquina
final.
Je
tourne
le
coin
final.
Vos
fuiste
el
rey
del
bailongo
Tu
étais
le
roi
du
bal
En
lo
de
Laura
y
la
Vasca...
Chez
Laura
et
la
Vasque...
¡Había
que
ver
las
churrascas
Il
fallait
voir
les
filles
Cómo
soñaban
tras
tuyo!
Comment
elles
rêvaient
après
toi !
¡Alzaba
cada
murmullo
Chaque
murmure
montait
Tu
taconear
compadrón
Ton
talonnement
de
grand
seigneur
Que
era
como
flor
de
yuyo
Qui
était
comme
une
fleur
de
pissenlit
Que
embrujaba
el
corazón!
Qui
envoûtait
le
cœur !
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