Текст и перевод песни Almafuerte - Del Colimba

Del Colimba

Mirando el sol
Desde un cuartel.
Uno entre tantos
De la patria grande.
Se va el Domingo y yo
Maldigo mi suerte,
Pues por azar aquí estoy
Vestido de verde.
Fue por sorteo, pibe.
Sin tomar parte.
Hoy soy quien corre, limpia y barre.
En un cuartel, en un cuartel.
Sirviendo a quienes eligieron aquí estar.
Mis metaleros sueños deben demorarse.
Estoy forzado a la militar instrucción,
Y cantando trato de aguantar.
En un cuartel, en un cuartel.
Fue por sorteo y no por propia voluntad,
Que me han rapado y separado de mis pares.
Ser vigilante pareciera ser mejor.
Yo cantando, trato de aguantar.
En un cuartel, en un cuartel.
Fue por sorteo y no por propia voluntad,
Que me han rapado y separado de mis pares.
Ser vigilante pareciera ser mejor.
Yo cantando, trato de aguantar.
En un cuartel, en un cuartel.

Du Colimba

Regardant le soleil
Depuis une caserne.
Un parmi tant d'autres
De la grande patrie.
Le dimanche s'en va et moi
Je maudis mon sort,
Car par hasard je suis ici
Vêtu de vert.
C'était par tirage au sort, mon pote.
Sans prendre part.
Aujourd'hui je suis celui qui court, nettoie et balaie.
Dans une caserne, dans une caserne.
Servant ceux qui ont choisi d'être ici.
Mes rêves métalleux doivent être différés.
Je suis forcé à l'instruction militaire,
Et en chantant j'essaie de tenir bon.
Dans une caserne, dans une caserne.
C'était par tirage au sort et non par ma propre volonté,
Qu'on m'a rasé et séparé de mes pairs.
Être vigilant semble être mieux.
Je chante, j'essaie de tenir bon.
Dans une caserne, dans une caserne.
C'était par tirage au sort et non par ma propre volonté,
Qu'on m'a rasé et séparé de mes pairs.
Être vigilant semble être mieux.
Je chante, j'essaie de tenir bon.
Dans une caserne, dans une caserne.