Текст и перевод песни Alysari - Mourning Dove

Mourning Dove

I can't remember crying harder than I did that night
Wailing and weeping, and praying that I'd die
Lament at the hand I'd been dealt
Covered mouth to keep silent
Wondering if all the time in the world was enough
For me to mourn longer than the mourning dove

Music is pain spread out like feathers
A blanket of flight, a downy bed of heather
For me to fall only and sing into lowly
Maybe that's why the dove, she cries
And the crow, he crows
And the hawk, he screams for he knows
Sound is flight into healing

The moon made the room blue
I had a crater in my chest, the ache of unrest
The birth of an angel and the stir of remembrance
Lungs burned with coals
And words that keep temperance, temperance, temperance, oh

And I think of it often: I'm living in my coffin
Wondering if all the time in the world is enough
For me to mourn longer than the mourning dove

I am a sponge for harm and for violence
Killing me inwards with stone dead silence
For me to fall only and swallow words wholly
Maybe that's why, the dove, she cries
And the crow, he crows, and the hawk, he screams for he knows
Sound is flight into healing

Colombe Pleureuse

Je ne me souviens pas avoir pleuré plus fort que ce soir-là
Gémir et pleurer, et prier pour mourir
Se lamenter de la main que j'avais reçue
Couvrir ma bouche pour rester silencieuse
Se demandant si tout le temps du monde était suffisant
Pour moi, pour pleurer plus longtemps que la colombe pleureuse

La musique est la douleur étalée comme des plumes
Une couverture de vol, un lit douillet de bruyère
Pour que je puisse tomber seulement et chanter dans la bassesse
Peut-être que c'est pourquoi la colombe, elle pleure
Et le corbeau, il croasse
Et le faucon, il crie car il sait
Le son est le vol vers la guérison

La lune a rendu la pièce bleue
J'avais un cratère dans ma poitrine, la douleur de l'agitation
La naissance d'un ange et le remue-ménage du souvenir
Les poumons brûlaient de charbon
Et des mots qui maintiennent la tempérance, la tempérance, la tempérance, oh

Et j'y pense souvent : je vis dans mon cercueil
Se demandant si tout le temps du monde était suffisant
Pour moi, pour pleurer plus longtemps que la colombe pleureuse

Je suis une éponge pour le mal et pour la violence
Me tuer vers l'intérieur avec un silence de mort
Pour que je puisse tomber seulement et avaler des mots entièrement
Peut-être que c'est pourquoi, la colombe, elle pleure
Et le corbeau, il croasse, et le faucon, il crie car il sait
Le son est le vol vers la guérison