Текст и перевод песни Anabantha - Mi Ultimo Aliento

Mi Ultimo Aliento

Esta noche es cruel
Es como el huracán que en la muerte suele
Suele encadenar a mis pies al mar
El ancla al corazón cual ladrón de perlas

Que se escabulló en la profundidad
De ese inmenso mar que se vuelven rejas
Y cada vez más me desvanezco más
Y cada vez más me desvanezco más

Mira mis manos, no hay más que leer
Cada línea murió, ya no me recuerdas
Beso olvidado en la oscuridad
De este triste cantar, es mi último aliento

Mira mis manos, no hay más que leer
Cada línea murió, ya no me recuerdas
Beso olvidado en la oscuridad
De este triste cantar, es mi último aliento

Esta noche es cruel
Es como el huracán que en la muerte suele
Suele encadenar a mis pies al mar
El ancla al corazón cual ladrón de perlas

Que se escabulló en la profundidad
De ese inmenso mar que se vuelven rejas
Y cada vez más me desvanezco más
Y cada vez más me desvanezco más

Mira mis manos, no hay más que leer
Cada línea murió, ya no me recuerdas
Beso olvidado en la oscuridad
De este triste cantar, es mi último aliento

Mira mis manos, no hay más que leer
Cada línea murió, ya no me recuerdas
Beso olvidado en la oscuridad
De este triste cantar, es mi último aliento

Mon dernier souffle

Cette nuit est cruelle
C'est comme l'ouragan qui dans la mort a l'habitude
A l'habitude d'enchaîner mes pieds à la mer
L'ancre au cœur comme un voleur de perles

Qui s'est faufilé dans les profondeurs
De cette immense mer qui devient des barreaux
Et de plus en plus je me consume
Et de plus en plus je me consume

Regarde mes mains, il n'y a plus rien à lire
Chaque ligne est morte, tu ne te souviens plus de moi
Baiser oublié dans l'obscurité
De ce triste chant, c'est mon dernier souffle

Regarde mes mains, il n'y a plus rien à lire
Chaque ligne est morte, tu ne te souviens plus de moi
Baiser oublié dans l'obscurité
De ce triste chant, c'est mon dernier souffle

Cette nuit est cruelle
C'est comme l'ouragan qui dans la mort a l'habitude
A l'habitude d'enchaîner mes pieds à la mer
L'ancre au cœur comme un voleur de perles

Qui s'est faufilé dans les profondeurs
De cette immense mer qui devient des barreaux
Et de plus en plus je me consume
Et de plus en plus je me consume

Regarde mes mains, il n'y a plus rien à lire
Chaque ligne est morte, tu ne te souviens plus de moi
Baiser oublié dans l'obscurité
De ce triste chant, c'est mon dernier souffle

Regarde mes mains, il n'y a plus rien à lire
Chaque ligne est morte, tu ne te souviens plus de moi
Baiser oublié dans l'obscurité
De ce triste chant, c'est mon dernier souffle