Текст и перевод песни Andrea Bocelli - Nuestro Encuentro (Sentado a 'Beira do Caminho)

Nuestro Encuentro (Sentado a 'Beira do Caminho)

¿Cuánto más me voy a equivocar? Yo no lo sé
Si quizás me puedo estar equivocando otra vez
¿Cuántas cosas más me quedan por cambiar?
De toda mi amargura
Aceptar la historia de este, nuestro encuentro
Es una gran locura

Mi amor, ya ven pronto
No resisto
Si tú no apareces
Yo no existo
No existo, no existo

Estoy triste entre la gente que
Hoy pasa por mi lado
La nostalgia de tenerte entre mis brazos
Es más fuerte que mi llanto

Este sol enciende sobre mí
Un signo de esperanza
La ilusión que tengo
De volverte a ver
Y el tiempo no me alcanza

Preciso acabar logo com isso
Preciso lembrar que eu existo
Que eu existo, que eu existo

Luces, tiendas, coches por las calles
Se confunden en mi mente
Ya mi sombra está cansada de seguirme
Y el día se muere lentamente

No me queda que volver de nuevo a casa
Y a mi triste vida
Y la vida que he querido darte a ti
La has hecho migas enseguida

La, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la

Notre rencontre (Assis au bord du chemin)

Combien de temps vais-je continuer à me tromper ? Je ne sais pas
Si peut-être je peux encore une fois me tromper
Combien de choses me restent-elles à changer ?
De toute mon amertume
Accepter l'histoire de notre rencontre
Est une grande folie

Mon amour, viens vite
Je ne résiste pas
Si tu n'apparais pas
Je n'existe pas
Je n'existe pas, je n'existe pas

Je suis triste parmi les gens qui
Passent à côté de moi aujourd'hui
La nostalgie de te tenir dans mes bras
Est plus forte que mes pleurs

Ce soleil allume sur moi
Un signe d'espoir
L'illusion que j'ai
De te revoir
Et le temps m'échappe

J'ai besoin d'en finir avec ça
J'ai besoin de me rappeler que j'existe
Que j'existe, que j'existe

Lumières, magasins, voitures dans les rues
Se confondent dans mon esprit
Mon ombre est fatiguée de me suivre
Et le jour s'éteint lentement

Il ne me reste plus qu'à rentrer à la maison
Et à ma triste vie
Et la vie que j'ai voulu te donner
Tu l'as réduite en miettes aussitôt

La, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la