Текст и перевод песни Andy & Lucas - Faldas

Faldas

Late como siempre al son de un tambor,
Late con ternura mi corazón,
Dejalo, sueñalo, dejalo que corra por favor.

Dudo de la gente como fundación,
Dudo del dinero oscuro como yo,
Habló por mi, tu habla por ti,
Me confieso solo a ti.

Faldas, ya no quiero faldas,
Ninguna usa tus tallas,
Ni quiero yo encontrarlas.

Besos, pa que quiero besos si los tuyos
Ya no saben, a cervezita que recuerda
A aquella tarde, cuando te dije
Yo te quiero más que a nadie.

Faldas, ya no quiero faldas,
Ninguna usa tus tallas,
Ni quiero yo encontrarlas.

Besos, pa que quiero besos si los tuyos
Ya no saben, a cervezita que recuerda
A aquella tarde, cuando te dije
Yo te quiero y más que a nadie.

Faldas, ya no quiero faldas,
Ninguna usa tus tallas,
Ni quiero yo encontrarlas.
Pa que quiero faldas...

Deja que el poniente sople con sol,
Deja que el invierno nos cubra de amor,
Ya verás como al final,
También te vas a enamorar.

Llevo detrás tuya nose cuanto ya,
Llevo imaginando un bonito final,
Entre tu y yo, solo tu y yo,
Basta ya de fingir más.

Faldas, ya no quiero faldas,
Ninguna usa tus tallas,
Ni quiero yo encontrarlas.

Besos, pa que quiero besos si los tuyos
Ya no saben, a cervezita que recuerda
A aquella tarde, cuando te dije
Yo te quiero y más que a nadie.

Faldas, ya no quiero faldas,
Ninguna usa tus tallas,
Ni quiero yo encontrarlas.

Besos, pa que quiero besos si los tuyos
Ya no saben, a cervezita que recuerda
A aquella tarde, cuando te dije
Yo te quiero y más que a nadie.

Faldas, ya no quiero faldas,
Ninguna usa tus tallas,
Ni quiero yo encontrarlas.

Faldas, ya no quiero faldas,
Ninguna usa tus tallas,
Ni quiero yo encontrarlas.

Pa que quiero faldas,
Yo pa que quiero faldas...
Yo pa que quiero faldas...

Jupes

Mon cœur bat comme toujours au rythme d’un tambour,
Il bat avec tendresse,
Laisse-le, rêve-le, laisse-le courir, je t’en prie.

Je doute des gens comme une fondation,
Je doute de l’argent sombre comme moi,
Tu as parlé pour moi, parle pour toi,
Je ne me confie qu’à toi.

Jupes, je ne veux plus de jupes,
Aucune ne porte ta taille,
Je ne veux pas les trouver non plus.

Baisers, à quoi bon les baisers si les tiens
Ne me rappellent plus la bière, qui me rappelle
Ce soir-là, quand je t’ai dit
Je t’aime plus que tout.

Jupes, je ne veux plus de jupes,
Aucune ne porte ta taille,
Je ne veux pas les trouver non plus.

Baisers, à quoi bon les baisers si les tiens
Ne me rappellent plus la bière, qui me rappelle
Ce soir-là, quand je t’ai dit
Je t’aime, plus que tout.

Jupes, je ne veux plus de jupes,
Aucune ne porte ta taille,
Je ne veux pas les trouver non plus.
À quoi bon les jupes...

Laisse l’ouest souffler avec le soleil,
Laisse l’hiver nous couvrir d’amour,
Tu verras qu’à la fin,
Tu vas aussi tomber amoureuse.

Je te suis depuis je ne sais combien de temps,
J’imagine une belle fin,
Entre toi et moi, toi et moi seulement,
Arrête de faire semblant.

Jupes, je ne veux plus de jupes,
Aucune ne porte ta taille,
Je ne veux pas les trouver non plus.

Baisers, à quoi bon les baisers si les tiens
Ne me rappellent plus la bière, qui me rappelle
Ce soir-là, quand je t’ai dit
Je t’aime, plus que tout.

Jupes, je ne veux plus de jupes,
Aucune ne porte ta taille,
Je ne veux pas les trouver non plus.

Baisers, à quoi bon les baisers si les tiens
Ne me rappellent plus la bière, qui me rappelle
Ce soir-là, quand je t’ai dit
Je t’aime, plus que tout.

Jupes, je ne veux plus de jupes,
Aucune ne porte ta taille,
Je ne veux pas les trouver non plus.

Jupes, je ne veux plus de jupes,
Aucune ne porte ta taille,
Je ne veux pas les trouver non plus.

À quoi bon les jupes,
Moi, à quoi bon les jupes...
Moi, à quoi bon les jupes...