Текст и перевод песни Angèle - Triana

Triana

Sous le jasmin en fleur
J'ai dénoué mes traces
Dans l'air du du soir
Flottent d'ennivrantes promesses

Et le printemps gonflait
Dans mes veines tendues
Tu marchais parmi d'autres
C'est la que je t'ai vu

Sur un banc de faïence
Nous nous sommes retrouvés
Entourés des amis et
Pour toi j'ai chanté

Ne crois pas que je t'ai aimé
J'ai juste rallumé dans mes
Yeux avec de l'alcool à brûler
Le feu de ces nuits où les jeux
Étaient permis et sans danger

Au pied du citronnier pour
Un peu découvrir
L'arôme des tes lèvres
L'odeur de ton sourire

En effleurant tes doigts
J'ai échangé nos verres
De vin blanc trop légers
Au goût de pomme amère

Et sans baisser les yeux nous
Avons bu ensemble
Jusqu'à la dernière goutte
Sans que mes mains ne tremblent

Ne crois pas que je t'ai aimé
J'ai juste rallumé dans mes yeux
Avec de l'alcool à brûler
Le feu de ces nuits où les jeux
Étaient permis et sans danger

Sous l'oranger tout blanc
Toute blanche elle aussi
La blonde aux yeux tranquilles
Timidement t'a souris

Cette fille diafane
Aux souvenirs indolores
D'un battement de cils
M'a dérobé ton corps

Et j'ai serré les poings
De te voir si futile
Répondre à sa fadeur
Par un sourire servile

Ne crois pas que je t'ai aimé
J'ai juste rallumé dans mes yeux
Avec de l'alcool à brûler
Le feu de ces nuits où les jeux
Étaient permis et sans danger

Ta peau est bien trop pâle
Pour supporter ton soleil
Ta voix est bien trop claire
Pour te joindre à mon chant brisé

Écoute dans la nuit mon rire
Qui trouble ton sommeil
Tu l'entendras longtemps
Flotter dans l'air comme un regret

Ne crois pas que je t'ai aimé
J'ai juste rallumé dans mes yeux
Avec de l'alcool à brûler
Le feu de ces nuits où les jeux
Étaient permis et sans danger

Ne crois pas que je t'ai aimé
J'ai juste rallumé dans mes yeux
Avec de l'alcool à brûler
Le feu de ces nuits où les jeux
Étaient permis et sans danger

Ne crois pas

Ne crois pas

Ne crois pas

Triana

Beneath the jasmine in bloom,
I untied my traces.
In the evening air,
Intoxicating promises float.

And spring swelled
In my tense veins.
You walked among others,
That's where I saw you.

On a faience bench,
We found each other.
Surrounded by friends and
For you, I sang.

Don't think I loved you,
I just rekindled in my
Eyes with burning alcohol,
The fire of those nights where games
Were allowed and without danger.

At the foot of the lemon tree to
Discover a little
The aroma of your lips,
The scent of your smile.

Brushing your fingers,
I exchanged our glasses
Of white wine, too light,
With a taste of bitter apple.

And without lowering our eyes, we
Drank together
To the last drop,
Without my hands trembling.

Don't think I loved you,
I just rekindled in my eyes
With burning alcohol,
The fire of those nights where games
Were allowed and without danger.

Under the orange tree, all white,
She, too, all white,
The blonde with quiet eyes,
Shyly smiled at you.

This diaphanous girl,
With painless memories,
With a blink of an eye,
Stole your body from me.

And I clenched my fists,
To see you so futile,
Responding to her blandness
With a servile smile.

Don't think I loved you,
I just rekindled in my eyes
With burning alcohol,
The fire of those nights where games
Were allowed and without danger.

Your skin is far too pale
To withstand your sun.
Your voice is far too clear
To join my broken song.

Listen in the night to my laughter
That disturbs your sleep.
You will hear it for a long time,
Floating in the air like a regret.

Don't think I loved you,
I just rekindled in my eyes
With burning alcohol,
The fire of those nights where games
Were allowed and without danger.

Don't think I loved you,
I just rekindled in my eyes
With burning alcohol,
The fire of those nights where games
Were allowed and without danger.

Don't believe

Don't believe

Don't believe