Текст и перевод песни Anni-Frid Lyngstad - The Face

The Face

(Daniel Balavoine, Kirstie MacColl)
You take a final look around
And then you put your house-key down
Upon the table by the note
You take your handbag and your coat
You don't want too much to carry
To slow you down on the way
You picture his face
In the morning
As he was going to work
Without saying a word
You saw the face
Of a stranger
It wasn't always like this before
His face like a stranger
You didn't know what to say
So you are going away
>From the face of a stranger
And not the lover you knew before
Why should you want to call your friends
Why should you want to start again
You tried explaining through the years
But it would always end in tears
And one thing you know for certain
You've said goodbye to that place
But still
You picture his face
In the morning
As he was going to work
Without saying a word
You saw the face
Of a stranger
It wasn't always like this before
His face like a stranger
You didn't know what to say
So you are going away
>From the face of a stranger
And not the lover you knew before
Somewhere a telephone
Is ringing in an empty room
Miles away
You are looking at a new town
But you are thinking of the past
The rain is falling down
Why do you keep that photograph
Of his face like a stranger
As he was going to work
Without saying a word
You saw the face
Of a stranger
And not the lover you knew before
His face
In the morning
As he was going to work
Without saying a word
You saw the face
Of a stranger
It wasn't always like this before
His face like a stranger
You didn't know what to say
So you are going away
>From the face of a stranger
And not the lover you knew before
His face
In the morning
As he was going to work
Without saying a word
You saw the face
Of a stranger
It wasn't always like this before
Rafael Nogueira
E-mail: abba@certto.com.br

Le visage

(Daniel Balavoine, Kirstie MacColl)
Tu fais un dernier tour
Et puis tu poses la clé de la maison
Sur la table près du mot
Tu prends ton sac à main et ton manteau
Tu ne veux pas trop à transporter
Pour te ralentir en chemin
Tu imagines son visage
Au petit matin
Alors qu'il partait au travail
Sans un mot
Tu as vu le visage
D'un étranger
Ça n'a pas toujours été comme ça avant
Son visage comme un inconnu
Tu ne savais pas quoi dire
Alors tu t'en vas
>Du visage d'un étranger
Et non pas de l'amant que tu connaissais avant
Pourquoi devrais-tu vouloir appeler tes amis
Pourquoi devrais-tu vouloir recommencer
Tu as essayé d'expliquer au fil des ans
Mais ça finissait toujours en larmes
Et une chose que tu sais avec certitude
Tu as dit adieu à cet endroit
Mais quand même
Tu imagines son visage
Au petit matin
Alors qu'il partait au travail
Sans un mot
Tu as vu le visage
D'un étranger
Ça n'a pas toujours été comme ça avant
Son visage comme un inconnu
Tu ne savais pas quoi dire
Alors tu t'en vas
>Du visage d'un étranger
Et non pas de l'amant que tu connaissais avant
Quelque part un téléphone
Sonne dans une pièce vide
À des kilomètres
Tu regardes une nouvelle ville
Mais tu penses au passé
La pluie tombe
Pourquoi gardes-tu cette photo
De son visage comme un étranger
Alors qu'il partait au travail
Sans un mot
Tu as vu le visage
D'un étranger
Et non pas de l'amant que tu connaissais avant
Son visage
Au petit matin
Alors qu'il partait au travail
Sans un mot
Tu as vu le visage
D'un étranger
Ça n'a pas toujours été comme ça avant
Son visage comme un inconnu
Tu ne savais pas quoi dire
Alors tu t'en vas
>Du visage d'un étranger
Et non pas de l'amant que tu connaissais avant
Son visage
Au petit matin
Alors qu'il partait au travail
Sans un mot
Tu as vu le visage
D'un étranger
Ça n'a pas toujours été comme ça avant
Rafael Nogueira
E-mail: abba@certto.com.br