Текст и перевод песни Annie - Marie Cherie

Marie Cherie

I used to know ths girl Marie
And so the story goes, she never really talked to me
Her house was seven blocks away
On my way to school, I went to see if she′s okay
Tell me, where have you gone?
Where have you gone, Marie?
Why did you leave?
Come back to me, cherie
I know you went away
You went away, Marie
You could not stay
You could not stay, cherie
Please stay with me, Marie, cherie
Oh no, he did not treat you right
Your innocence is lost
You never had the chance to fly
She looked so pretty like a dream
Her skin's like velvet cream
She never made her sweet sixteen
Nobody came around to see her
It was as if she wasn′t there
A lone butterfly that's caught in amber
Always your daddy's little girl
Tell me, where have you gone?
Where have you gone, Marie?
Why did you leave?
Come back to me, cherie
I know you went away
You went away, Marie
You could not stay
You could not stay, cherie
Please stay with me, Marie, cherie

Marie Cherie

Je connaissais cette fille, Marie
Et c'est comme ça que l'histoire se déroule, elle ne me parlait jamais vraiment
Sa maison était à sept pâtés de maisons
En allant à l'école, j'allais voir si elle allait bien
Dis-moi, où es-tu partie ?
Où es-tu partie, Marie ?
Pourquoi tu es partie ?
Reviens vers moi, chérie
Je sais que tu es partie
Tu es partie, Marie
Tu ne pouvais pas rester
Tu ne pouvais pas rester, chérie
S'il te plaît, reste avec moi, Marie, chérie
Oh non, il ne t'a pas traité correctement
Ton innocence est perdue
Tu n'as jamais eu la chance de voler
Elle avait l'air si belle comme un rêve
Sa peau est comme de la crème de velours
Elle n'a jamais eu ses 16 ans
Personne n'est venu la voir
C'était comme si elle n'était pas là
Un papillon solitaire pris dans l'ambre
Toujours la petite fille de ton papa
Dis-moi, où es-tu partie ?
Où es-tu partie, Marie ?
Pourquoi tu es partie ?
Reviens vers moi, chérie
Je sais que tu es partie
Tu es partie, Marie
Tu ne pouvais pas rester
Tu ne pouvais pas rester, chérie
S'il te plaît, reste avec moi, Marie, chérie